Certains enfants déjà à très bas âge souffrent des infections urinaires. Cela se manifeste par des brûlures en urinant, des envies urgentes d’uriner, mais souvent en petites quantités. De fois, ces maladies deviennent beaucoup plus graves chez les enfants soit par ignorance des parents, soit par négligence. Une question se pose : Que faire pour les éviter et comment faut-il les soigner lorsqu’elles surviennent ?
Nous en parlons aujourd’hui dans notre chronique consacrée à la santé.
Pour ceux qui ne le savent pas, une infection urinaire, selon certaines sources médicales, est une infection qui touche tout l’arbre urinaire. Quand on parle de l’arbre urinaire, nous voyons les reins et toutes ses composantes tel que l’uretère qui est le petit tube qui lie les reins à la vessie, la vessie elle-même, et l’urètre qui est le petit tube par où passe l’urine. Il n’est pas facile de parler avec exactitude des causes des infections urinaires. Selon les mêmes sources médicales, les infections urinaires s’attrapent par deux voies. La première et celle du sang, c’est ce qu’on appelle voie hématogène. La seconde, c’est la voie ascendante, c’est-à-dire que l’infection vient de l’extérieur, en passant par l’urètre, jusqu’à la vessie, et atteindre les reins. Chez le bébé, il est difficile d’identifier les infections urinaires étant donné qu’il ne parle pas, contrairement aux enfants plus âgés. Selon le Docteur Henri BOONGO, pédiatre au centre médical OUA, on peut constater chez un nourrisson qui souffre d’une infection urinaire des fièvres à répétition, un retard de croissance au point de vue poids et au point de vue taille et de bien d’autres symptômes.
Selon les mêmes sources, avant l’age de 3 ans, les infections urinaires touchent aussi bien les garçons que les filles. Tel est le cas de cette petite fille âgée à peine de 2 ans, victime d’une infection urinaires. Selon sa mère, ses urines dégageaient une forte odeur, avec une coloration jaunâtre. Au niveau de ses organes génitaux sortait des saletés.
Quand une infection n’est pas soignée ou mal soignées, précise le Docteur Henri BOONGO, il peut y arriver que plus tard, un garçon ait des problèmes au niveau de sa reproduction ultérieure. Si l’infection atteint par exemple les reins, un enfant peut développer une hypertension et une insuffisance rénales aigue
Quelles sont les précautions à prendre pour éviter ces infections ?
Selon des sources médicales, pour protéger les enfants contre une quelconque infection, il faut observer des mesures d’hygiènes adéquates. Les vêtements des soins intimes de l’enfant ne peuvent pas être mélangé avec ceux des personnes adultes. Ces derniers ne peuvent pas êtres utiliser plus de trois jours successives sur l’enfant. Il faut souvent changer les vêtements de l’enfant après chaque besoin. Pour les filles, il faut souvent utiliser les sous vêtements en coton.
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
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mardi 30 mars 2010
Justice : que dit la loi congolaise en cas de lenteur prolongée dans le traitement d’un dossier judiciaire ?
En République démocratique du Congo, il est fréquent qu'une affaire portée devant les instances judiciaires connaisse une lenteur prolongée dans son traitement. Cette situation s'observe souvent lorsque la partie lésée est dépourvue des moyens. C'est généralement le cas des travailleurs licenciés abusivement d'une entreprise ou encore des personnes déguerpies illégalement de leurs maisons par quelqu'un de plus nanti.
Selon maître Dominique Kamuandu, de l’ONG avocat sans frontière, lorsqu’une juridiction est saisie, l’arrêté d’organisation judiciaire portant règlement intérieur des cours, tribunaux et parquets prévoit en principe que les causes peuvent être appelées, instruites et plaidés à l’audience d’introduction, c'est-à-dire à la première audience. Mais lorsqu’il y a des causes ou des motifs valables, on peut accorder des remises, qui sont en faits des renvoient d’affaires à une autre date pour permettre aux parties d’apprêter leurs pièces et de déposer les conclusions afin de permettre aux juges de pouvoir statuer. Certains experts judiciaires affirment même qu’un dossier en instruction exige en principe trois remises. Et chacune de ces remises ne peut être accordée que lorsqu’il est clairement établi que ces motifs sont valables.
Marcel Wetshokonda, juriste près du barreau de Kinshasa et membre de l’ONG «Campagne pour le droit de l’homme » précise que la procédure de compromis en matière civile est essentiellement écrite au départ. Les parties doivent prendre connaissance des pièces du dossier. Ces pièces du dossier et leurs conclusions seront ensuite échangés entre les parties. C’est seulement lorsque l’affaire est en phase d’être jugé que l’on passera à la phase orale. Si au bout du délai légal fixé, l’affaire n’est pas en instance de jugement, la loi prévoit que la partie qui a intérêt que les choses puisse aller de l’avant puisse user de la procédure de la sommation à conclure, c'est-à-dire un délai impartie à la partie qui ne fait pas diligence pour que l’affaire ne soit pas en état d’être jugé. Maître Wetshokonda affirme que l’idéal serait que la justice soit rendue dans le délai raisonnable dans une affaire portée en justice. Il précise que la nouvelle loi portant statut des magistrats, érige en faute disciplinaire le fait pour le juge de ne pas prononcer le jugement dans le délai imparti. Pour lui, le juge qui se rend coupable de violation de cette règle s’expose à la rigueur de la loi et se verra appliqué des options disciplinaires.
De son coté, maître Dominique Kamuandu, de l’ONG avocat sans frontière pense qu’à la différence des matières civiles qui intéresse les parties en conflits ou prenantes au procès, dans les matières pénales, le juge est actif et peut même demander lui même des preuves. Il peut initier des enquêtes ou des procédures pour rechercher des preuves.
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
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Selon maître Dominique Kamuandu, de l’ONG avocat sans frontière, lorsqu’une juridiction est saisie, l’arrêté d’organisation judiciaire portant règlement intérieur des cours, tribunaux et parquets prévoit en principe que les causes peuvent être appelées, instruites et plaidés à l’audience d’introduction, c'est-à-dire à la première audience. Mais lorsqu’il y a des causes ou des motifs valables, on peut accorder des remises, qui sont en faits des renvoient d’affaires à une autre date pour permettre aux parties d’apprêter leurs pièces et de déposer les conclusions afin de permettre aux juges de pouvoir statuer. Certains experts judiciaires affirment même qu’un dossier en instruction exige en principe trois remises. Et chacune de ces remises ne peut être accordée que lorsqu’il est clairement établi que ces motifs sont valables.
Marcel Wetshokonda, juriste près du barreau de Kinshasa et membre de l’ONG «Campagne pour le droit de l’homme » précise que la procédure de compromis en matière civile est essentiellement écrite au départ. Les parties doivent prendre connaissance des pièces du dossier. Ces pièces du dossier et leurs conclusions seront ensuite échangés entre les parties. C’est seulement lorsque l’affaire est en phase d’être jugé que l’on passera à la phase orale. Si au bout du délai légal fixé, l’affaire n’est pas en instance de jugement, la loi prévoit que la partie qui a intérêt que les choses puisse aller de l’avant puisse user de la procédure de la sommation à conclure, c'est-à-dire un délai impartie à la partie qui ne fait pas diligence pour que l’affaire ne soit pas en état d’être jugé. Maître Wetshokonda affirme que l’idéal serait que la justice soit rendue dans le délai raisonnable dans une affaire portée en justice. Il précise que la nouvelle loi portant statut des magistrats, érige en faute disciplinaire le fait pour le juge de ne pas prononcer le jugement dans le délai imparti. Pour lui, le juge qui se rend coupable de violation de cette règle s’expose à la rigueur de la loi et se verra appliqué des options disciplinaires.
De son coté, maître Dominique Kamuandu, de l’ONG avocat sans frontière pense qu’à la différence des matières civiles qui intéresse les parties en conflits ou prenantes au procès, dans les matières pénales, le juge est actif et peut même demander lui même des preuves. Il peut initier des enquêtes ou des procédures pour rechercher des preuves.
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lundi 29 mars 2010
Le rêve américain devient une réalité en RDC grâce à la Green Card
Plusieurs congolais de tout horizon sont aujourd’hui intéressés par les Etats unies d’Amérique. Ceci suite aux opportunités qu’offre ce pays sur tous les plans. Chaque année le gouvernement américain accorde une série de visa pour tout congolais le désirant, grâce à la loterie visa américaine. L’objectif de celui-ci étant d’augmenter la diversité du peuple américain. Une façon de rappeler que les USA est le fruit d’un mélange et d’une diversité culturelle. Depuis le lancement de cette loterie en 1995 par le congrès américain, plus de 500 000 personnes ont déjà émigré aux USA grâce à ce programme.
Plusieurs avantages sont accordés à toutes personnes intéressées par ce pays de l’oncle Sam. A titre indicatif, nous disons que 50,000 personnes et leurs familles pourront au cours de cette année 2010, grâce à cette opportunité, vivre, travailler et étudier aux Etats-Unis. A cela s’ajoute plus d’un million qui s’inscrivent chaque année à cette loterie organisée par le département fédéral d’immigration américaine, dans l’espoir d’obtenir la précieuse carte verte.
Un document grâce auquel 50 000 heureux élus, tirés au sort à travers le monde, pourront vivre et travailler aux Etats unies en toute légalité. Grâce à cette action menée par les Etats unies d’Amérique en RDC et partout dans le monde, on a plus besoin de demander un visa vacances et de faire ensuite un mariage blanc avec une vieille américaine, pour devenir citoyen américain. Ce qui justifie le rêve de beaucoup des congolais vers les Etats-Unis d’Amérique. Un rêve que seule la Green Card ou carte verte américaine peut réaliser. Votée par le Congrès américain en 1990, cette loterie porte officiellement le nom de Diversity Visa Program (ou DV Program). Elle est normalement gratuite. Le formulaire est même téléchargeable sur internet. Seuls les frais postaux sont payants.
Bien qu’étant officiellement ouverte à tous, il existe deux critères de base que les candidats doivent impérativement remplir. A ce sujet, il suffirait d’avoir au minimum un niveau d’éducation égal au baccalauréat (ou diplôme d’Etat en RDC). Il faudrait aussi que les couples qui postulent soient officiellement mariés car les Etats-Unis ne reconnaissant pas le concubinage. Egalement d’autres critères sont établit pour espérer obtenir cette carte verte. Il est nécessaire d’avoir du niveau d’études supérieur, car un jeune de 30 ans, ayant fait des études supérieures, aura bien plus de chance qu’un retraité, par exemple. Les autorités américaines privilégient, en effet, une population jeune, plus préparée à participer à l’économie du pays.
Il faut signaler que certains pays ne sont pas autorisés à participer à la loterie. Il s’agit de ceux qui ont déjà plus de 50 000 ressortissants immigrés aux Etats Unis durant les cinq dernières années. Des quotas qui ne peuvent pas tenir compte des différentes populations clandestines, entrées avec un simple visa touristique, qui n’autorise pas à travailler dans le pays.
Tous ceci prouve à suffisance l’esprit d’ouverture des Etats unies d’Amérique au monde et surtout à la population congolaise de la RDC, qui présente plus de critère de choix. Ce qui revient à dire que le rêve américain devient une réalité en RDC, un pays post conflit, lancé dans la voie démocratique, surtout avec l’organisation des récentes élections libres et démocratique. Aujourd’hui les Etats unies est l’exemple de la vraie démocratie que tous ces congolais qui s’y rendent ont soif d’intérioriser pour assurer leur avenir sur tous les plans.
Une façon aussi pour nos dirigeants qui doivent chercher à marcher sur les traces des Etats unies d’Amérique, en assimilant les leçons de démocratie et en assurant un avenir meilleur à sa population.
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
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Plusieurs avantages sont accordés à toutes personnes intéressées par ce pays de l’oncle Sam. A titre indicatif, nous disons que 50,000 personnes et leurs familles pourront au cours de cette année 2010, grâce à cette opportunité, vivre, travailler et étudier aux Etats-Unis. A cela s’ajoute plus d’un million qui s’inscrivent chaque année à cette loterie organisée par le département fédéral d’immigration américaine, dans l’espoir d’obtenir la précieuse carte verte.
Un document grâce auquel 50 000 heureux élus, tirés au sort à travers le monde, pourront vivre et travailler aux Etats unies en toute légalité. Grâce à cette action menée par les Etats unies d’Amérique en RDC et partout dans le monde, on a plus besoin de demander un visa vacances et de faire ensuite un mariage blanc avec une vieille américaine, pour devenir citoyen américain. Ce qui justifie le rêve de beaucoup des congolais vers les Etats-Unis d’Amérique. Un rêve que seule la Green Card ou carte verte américaine peut réaliser. Votée par le Congrès américain en 1990, cette loterie porte officiellement le nom de Diversity Visa Program (ou DV Program). Elle est normalement gratuite. Le formulaire est même téléchargeable sur internet. Seuls les frais postaux sont payants.
Bien qu’étant officiellement ouverte à tous, il existe deux critères de base que les candidats doivent impérativement remplir. A ce sujet, il suffirait d’avoir au minimum un niveau d’éducation égal au baccalauréat (ou diplôme d’Etat en RDC). Il faudrait aussi que les couples qui postulent soient officiellement mariés car les Etats-Unis ne reconnaissant pas le concubinage. Egalement d’autres critères sont établit pour espérer obtenir cette carte verte. Il est nécessaire d’avoir du niveau d’études supérieur, car un jeune de 30 ans, ayant fait des études supérieures, aura bien plus de chance qu’un retraité, par exemple. Les autorités américaines privilégient, en effet, une population jeune, plus préparée à participer à l’économie du pays.
Il faut signaler que certains pays ne sont pas autorisés à participer à la loterie. Il s’agit de ceux qui ont déjà plus de 50 000 ressortissants immigrés aux Etats Unis durant les cinq dernières années. Des quotas qui ne peuvent pas tenir compte des différentes populations clandestines, entrées avec un simple visa touristique, qui n’autorise pas à travailler dans le pays.
Tous ceci prouve à suffisance l’esprit d’ouverture des Etats unies d’Amérique au monde et surtout à la population congolaise de la RDC, qui présente plus de critère de choix. Ce qui revient à dire que le rêve américain devient une réalité en RDC, un pays post conflit, lancé dans la voie démocratique, surtout avec l’organisation des récentes élections libres et démocratique. Aujourd’hui les Etats unies est l’exemple de la vraie démocratie que tous ces congolais qui s’y rendent ont soif d’intérioriser pour assurer leur avenir sur tous les plans.
Une façon aussi pour nos dirigeants qui doivent chercher à marcher sur les traces des Etats unies d’Amérique, en assimilant les leçons de démocratie et en assurant un avenir meilleur à sa population.
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mercredi 24 mars 2010
Les USA toujours disponible à consolider la paix à l’Est de la RDC
La République démocratique du Congo se prépare d’ici à l’an 2011 à affronter les prochaines élections sur toute l’étendue du pays. Déjà la commission électorale indépendante a annoncé le lancement dans les touts prochains jours, des opérations de constitution du fichier électorale. Les Etats unies d’Amérique a toujours été aux cotés de la RDC pour l’accompagner vers la concrétisation du processus démocratique. C’est qui a justifie les différents ballet diplomatique entre les deux pays durant cette période où la RDC est entrain de faire ses premiers pas dans la démocratie.
On peut citer à titre indicatif, la visite dernièrement en RDC de la patronne de la diplomatie américaine, Hillary Clinton en Août dernier. Elle avait rencontré les officiels congolais, les membres de la Société civile et des responsables de la Mission de l’ONU (Monuc).
Sa visite en RDC l’a conduite à Goma où elle a rencontré le président congolais Joseph Kabila. Les problèmes sécuritaires ont été au centre des entretiens entre le président Joseph Kabila et Mme Hillary Clinton. En dépit des avancées enregistrées sur le plan sécuritaire, Hillary Clinton a insisté sur la responsabilité du gouvernement dans la lutte contre l’impunité et les violences faites aux femmes. La secrétaire d’Etat américaine a, par la même occasion, réitérer la volonté du gouvernement américain d’aider la RDC à la formation d’une armée républicaine Elle a ensuite visité les déplacés du camp de Mugunga à plus de 10 kilomètres au sud de Goma. Ces deniers avaient souhaités que le gouvernement américain aide le gouvernement congolais dans la stabilisation de l’Est, facteur primordial pour leur retour dans leurs milieux d’origine.
Enfin, elle s’était rendue à l’hôpital Heal Africa, une structure médicale qui prend en charge des victimes de viol où elle a eu des entretiens avec les organisations féminines locales et internationales qui œuvrent dans la lutte contre les violences sexuelles. Ces responsables des organisations féminines avaient recommandé fermement à l’émissaire américaine de faire pression sur les acteurs politiques dans la région des Grands Lacs, pour qu’une paix durable revienne au Congo. Ces mêmes organisations avaient fait savoir que certains auteurs des crimes graves, comme le viol, restent impunis et sont parfois appelés à de hautes fonctions au sein des institutions étatiques. Elles ont recommandé par conséquent que les États-Unis fassent pression sur les gouvernements de la sous région en vue de la révision de la stratégie actuelle de lutte contre les rebelles FDLR, conformément à la résolution 1886 du conseil de sécurité des Nations unies.
Toujours dans le cadre de la consolidation des relations entre la RDC et les USA, on a noté des rapprochements entre les deux pays, surtout avec l’engagement du gouvernement américain de militer et s’engager pour soutenir la RDC dans la consolidation de la paix à l'Est du pays. Un message fort apporté par Eric P. Schwartz, sous-secrétaire d'Etat américain chargé des questions de la population, des réfugiés et des migrations, en visite en Octobre dernier en RDC. Pour l'homme d'Etat américain, les Etats-Unis vont appuyer la RDC dans le déploiement des forces de maintien de la paix, la lutte contre les violences sexuelles et la protection des civils. Le pays de Barack Obama va aussi assister la RDC dans son programme d'assurer le bien-être des personnes déplacées à l'Est, en demandant au gouvernement congolais de se préoccuper des Congolais vivant à l'extérieur et de les faire revenir au pays. Pour toutes ces interventions, les Etats-Unis ont débloqués durant l’année 2009 une enveloppe de 200 millions de dollars dans l'assistance humanitaire en RDC. Un geste à saluer et encourager dans le cadre du développement des pays post conflit et des relations bilatérales entre la RDC et les USA.
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
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On peut citer à titre indicatif, la visite dernièrement en RDC de la patronne de la diplomatie américaine, Hillary Clinton en Août dernier. Elle avait rencontré les officiels congolais, les membres de la Société civile et des responsables de la Mission de l’ONU (Monuc).
Sa visite en RDC l’a conduite à Goma où elle a rencontré le président congolais Joseph Kabila. Les problèmes sécuritaires ont été au centre des entretiens entre le président Joseph Kabila et Mme Hillary Clinton. En dépit des avancées enregistrées sur le plan sécuritaire, Hillary Clinton a insisté sur la responsabilité du gouvernement dans la lutte contre l’impunité et les violences faites aux femmes. La secrétaire d’Etat américaine a, par la même occasion, réitérer la volonté du gouvernement américain d’aider la RDC à la formation d’une armée républicaine Elle a ensuite visité les déplacés du camp de Mugunga à plus de 10 kilomètres au sud de Goma. Ces deniers avaient souhaités que le gouvernement américain aide le gouvernement congolais dans la stabilisation de l’Est, facteur primordial pour leur retour dans leurs milieux d’origine.
Enfin, elle s’était rendue à l’hôpital Heal Africa, une structure médicale qui prend en charge des victimes de viol où elle a eu des entretiens avec les organisations féminines locales et internationales qui œuvrent dans la lutte contre les violences sexuelles. Ces responsables des organisations féminines avaient recommandé fermement à l’émissaire américaine de faire pression sur les acteurs politiques dans la région des Grands Lacs, pour qu’une paix durable revienne au Congo. Ces mêmes organisations avaient fait savoir que certains auteurs des crimes graves, comme le viol, restent impunis et sont parfois appelés à de hautes fonctions au sein des institutions étatiques. Elles ont recommandé par conséquent que les États-Unis fassent pression sur les gouvernements de la sous région en vue de la révision de la stratégie actuelle de lutte contre les rebelles FDLR, conformément à la résolution 1886 du conseil de sécurité des Nations unies.
Toujours dans le cadre de la consolidation des relations entre la RDC et les USA, on a noté des rapprochements entre les deux pays, surtout avec l’engagement du gouvernement américain de militer et s’engager pour soutenir la RDC dans la consolidation de la paix à l'Est du pays. Un message fort apporté par Eric P. Schwartz, sous-secrétaire d'Etat américain chargé des questions de la population, des réfugiés et des migrations, en visite en Octobre dernier en RDC. Pour l'homme d'Etat américain, les Etats-Unis vont appuyer la RDC dans le déploiement des forces de maintien de la paix, la lutte contre les violences sexuelles et la protection des civils. Le pays de Barack Obama va aussi assister la RDC dans son programme d'assurer le bien-être des personnes déplacées à l'Est, en demandant au gouvernement congolais de se préoccuper des Congolais vivant à l'extérieur et de les faire revenir au pays. Pour toutes ces interventions, les Etats-Unis ont débloqués durant l’année 2009 une enveloppe de 200 millions de dollars dans l'assistance humanitaire en RDC. Un geste à saluer et encourager dans le cadre du développement des pays post conflit et des relations bilatérales entre la RDC et les USA.
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mardi 23 mars 2010
Les USA appui la RDC dans divers projets de développement durables et militaires
Les Etats unies d’Amérique accompagne la RDC au processus de développement et démocratisation. Ceci grâce à son intervention dans plusieurs projets à impact rapide visant à améliorer certaines structures spécialisées du pays. Selon William John Garvelink, ambassadeur des Etats-Unis en RDC, les Etats Unies d’amerique figure parmi les plus grand donateur dans le projet de la lutte contre les violences sexuelles dans l’Est de la RDC. L’aide de ce pays se focalise sur la protection des civils, sur le respect des droits de l’homme, la réforme du secteur sécuritaire ainsi que de la justice.
Nous pouvons citer à titre indicatif, d’autres actions des Etats unies d’amerique en RDC, tels que l’intervention en Septembre 2007 du département d'État et de l'Agence des États-Unis pour le développement international pour sauver le parc de Virunga. Cette intervention à la hauteur de 496.000 dollars a consisté à aider le personnel forestier de cette structure à y protéger les espèces sauvages en voie de disparition au parc nationale de Virunga.
En effet, dans ce parc national situé dans le nord-est de la République démocratique du Congo, un grand nombre d'espèces uniques de cette région sont menacées, notamment le gorille des montagnes, dont la population a subit un déclin sous l'effet combiné de la persistance des conflits armés en RDC, du braconnage, des pressions démographiques et de la destruction de leur habitat naturel. La contribution des États-Unis a visé à aider le personnel du parc à faire face à la menace qui pèse sur la biodiversité ainsi qu'au braconnage à l'intérieur et autour du parc, grâce à des opérations de surveillance des déplacements de la faune, à la réparation des locaux forestiers, à l'envoi de matériel et à la formation des agents. Cette aide financière a visé à améliorer l'efficacité des activités de conservation, l'application des lois protégeant la faune, les échanges d'information et la coopération avec les autorités régionales. Pour rappel, c’est depuis 2003 que les États-Unis accordent leur appui au Parc national des Virunga dans le cadre du Programme régional centrafricain pour l'environnement et du Partenariat pour les forêts du bassin du Congo.
Un autre fait marquant cette année, c’était l’aide alimentaire du gouvernement des Etats unies d’Amérique aux personnes confrontées à des situations humanitaires critiques. En République Démocratique du Congo, la contribution américaine était de 1,6 millions de dollars américains qui a servie à aider les populations cherchant à refaire leur vie et à reconstruire les infrastructures, après de nombreuses années de conflits internes.
Dans le domaine militaire, les Etats unies ont joué un rôle important dans la reforme de l’armée congolaise. Au cours de ce premier trimestre de l’année 2010, le gouvernement américain a débloqué 35 millions de dollars destinés à la formation de tout un bataillon des FARDC. Pour William John Garvelink, ambassadeur des Etats-Unis en RDC, le gouvernement des Etats-Unis et de la RDC sont engagés dans un partenariat visant à appuyer la réforme du secteur de la sécurité, à travers une série de programmes civils et militaires. En partenariat avec le gouvernement de la RDC, le gouvernement des Etats-Unis a initié une partie importante de cet engagement : un programme visant à former et professionnaliser un bataillon d’infanterie légère par le biais du commandant de l’Africom ou commandant des Etats-Unis pour l’Afrique. Pour le diplomate Américain, une cérémonie officielle consacrant le lancement de cette formation s’est déroulée à Kisangani en Province Orientale le 17 février dernier (2010), en présence des officiels congolais, de Anthony J. Holmes, adjoint du Commandant d’Africom chargé des activités civiles et militaires et de l’ambassadeur William Garvelink.
L’objectif des Etats-Unis est d’aider au développement d’une armée professionnelle qui respecte l’autorité civile et garantisse la sécurité du peuple congolais. Cette formation aidera la RDC à transformer son armée en une institution professionnelle, durable et prête à répondre de ses actes en assurant la sécurité du peuple congolais de manière effective, a poursuivi M. William John Garvelink. Ce dernier a signifié clairement que le développement d’une armée plus professionnelle jouera un rôle-clé dans la sécurisation de la région des Grands Lacs et la protection de l’intégrité territoriale de la RDC. L’ambassadeur américain a également souligné que le programme de formation des Etats-Unis vise aussi à promouvoir une paix durable à travers la création d’une unité modèle au sein des FARDC. Ce programme donnera lieu à une armée professionnelle disposée à répondre de ses actes, qui respecte les droits humains et protège les communautés dans les régions où elle est déployée.
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Nous pouvons citer à titre indicatif, d’autres actions des Etats unies d’amerique en RDC, tels que l’intervention en Septembre 2007 du département d'État et de l'Agence des États-Unis pour le développement international pour sauver le parc de Virunga. Cette intervention à la hauteur de 496.000 dollars a consisté à aider le personnel forestier de cette structure à y protéger les espèces sauvages en voie de disparition au parc nationale de Virunga.
En effet, dans ce parc national situé dans le nord-est de la République démocratique du Congo, un grand nombre d'espèces uniques de cette région sont menacées, notamment le gorille des montagnes, dont la population a subit un déclin sous l'effet combiné de la persistance des conflits armés en RDC, du braconnage, des pressions démographiques et de la destruction de leur habitat naturel. La contribution des États-Unis a visé à aider le personnel du parc à faire face à la menace qui pèse sur la biodiversité ainsi qu'au braconnage à l'intérieur et autour du parc, grâce à des opérations de surveillance des déplacements de la faune, à la réparation des locaux forestiers, à l'envoi de matériel et à la formation des agents. Cette aide financière a visé à améliorer l'efficacité des activités de conservation, l'application des lois protégeant la faune, les échanges d'information et la coopération avec les autorités régionales. Pour rappel, c’est depuis 2003 que les États-Unis accordent leur appui au Parc national des Virunga dans le cadre du Programme régional centrafricain pour l'environnement et du Partenariat pour les forêts du bassin du Congo.
Un autre fait marquant cette année, c’était l’aide alimentaire du gouvernement des Etats unies d’Amérique aux personnes confrontées à des situations humanitaires critiques. En République Démocratique du Congo, la contribution américaine était de 1,6 millions de dollars américains qui a servie à aider les populations cherchant à refaire leur vie et à reconstruire les infrastructures, après de nombreuses années de conflits internes.
Dans le domaine militaire, les Etats unies ont joué un rôle important dans la reforme de l’armée congolaise. Au cours de ce premier trimestre de l’année 2010, le gouvernement américain a débloqué 35 millions de dollars destinés à la formation de tout un bataillon des FARDC. Pour William John Garvelink, ambassadeur des Etats-Unis en RDC, le gouvernement des Etats-Unis et de la RDC sont engagés dans un partenariat visant à appuyer la réforme du secteur de la sécurité, à travers une série de programmes civils et militaires. En partenariat avec le gouvernement de la RDC, le gouvernement des Etats-Unis a initié une partie importante de cet engagement : un programme visant à former et professionnaliser un bataillon d’infanterie légère par le biais du commandant de l’Africom ou commandant des Etats-Unis pour l’Afrique. Pour le diplomate Américain, une cérémonie officielle consacrant le lancement de cette formation s’est déroulée à Kisangani en Province Orientale le 17 février dernier (2010), en présence des officiels congolais, de Anthony J. Holmes, adjoint du Commandant d’Africom chargé des activités civiles et militaires et de l’ambassadeur William Garvelink.
L’objectif des Etats-Unis est d’aider au développement d’une armée professionnelle qui respecte l’autorité civile et garantisse la sécurité du peuple congolais. Cette formation aidera la RDC à transformer son armée en une institution professionnelle, durable et prête à répondre de ses actes en assurant la sécurité du peuple congolais de manière effective, a poursuivi M. William John Garvelink. Ce dernier a signifié clairement que le développement d’une armée plus professionnelle jouera un rôle-clé dans la sécurisation de la région des Grands Lacs et la protection de l’intégrité territoriale de la RDC. L’ambassadeur américain a également souligné que le programme de formation des Etats-Unis vise aussi à promouvoir une paix durable à travers la création d’une unité modèle au sein des FARDC. Ce programme donnera lieu à une armée professionnelle disposée à répondre de ses actes, qui respecte les droits humains et protège les communautés dans les régions où elle est déployée.
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Offre d’emploi : Sesomo – Sogead recrute un Technicien en Informatique et le fonds mondial pour la nature en RDC un(e) Chargé (e) de bureau de liaison
Sesomo - Sogead recrute pour le compte de l'un de ses clients, Société œuvrant dans le secteur des finances, un Technicien en Informatique en contrat à durée indéterminée. Avoir une expérience probante d'au moins 5 années. Avoir un diplôme minimum de graduat ; avoir une formation supérieure en informatique ; être loyale et de bonne moralité ;
- connaître le secteur bancaire et financier serait un atout ;
Les candidats intéressés devront soumettre : Un CV à jour avec un maximum de 2 pages ; Une demande/une lettre de motivation. les candidats sans emploi devront disposer d'une carte de demandeur d'emploi délivrée par l'ONEM.
Faire parvenir les candidatures aux adresses électroniques suivantes recrutement@sesomo.cd jusqu’au 05 avril 2010.
Sur un autre registre, le fonds mondial pour la nature en république démocratique du Congo (wwf-rdc) , l'une des plus grandes organisations de conservation de la nature cherche à recruter pour son Programme en RDC une(e) Chargé (e) de bureau de liaison à Mbandaka. Vous avez jusqu’au 27 mars 2010 pour postuler par e-mail à wwfrdc@wwfcarpo.org
Il faut un diplôme universitaire de graduat au minimum en administration, droit, communication ou autres domaines apparentés. Expérience de 3 ans au moins dans une fonction similaire au sein d'un environnement dynamique ou doté d'une organisation administrative viable. Expérience de travail dans les ONG de conservation
Les personnes intéressées sont priées de faire parvenir une lettre de demande accompagnée d'un CV à l'attention du Directeur Administratif et Financier du WWF-RDC
- par e-mail : wwfrdc@wwfcarpo.org
- ou par courrier à l'adresse suivante : 14, avenue Sergent Moke, Concession SAFRICAS, Quartier Socimat, Kinshasa / Ngaliema ou Avenue Bolenge no 53, Commune Wangata/Mbandaka.
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
(00243) 998909787
E-Mail : katshak@un.org
papykatshak@gmail.com
papykatshak@yahoo.fr
- connaître le secteur bancaire et financier serait un atout ;
Les candidats intéressés devront soumettre : Un CV à jour avec un maximum de 2 pages ; Une demande/une lettre de motivation. les candidats sans emploi devront disposer d'une carte de demandeur d'emploi délivrée par l'ONEM.
Faire parvenir les candidatures aux adresses électroniques suivantes recrutement@sesomo.cd jusqu’au 05 avril 2010.
Sur un autre registre, le fonds mondial pour la nature en république démocratique du Congo (wwf-rdc) , l'une des plus grandes organisations de conservation de la nature cherche à recruter pour son Programme en RDC une(e) Chargé (e) de bureau de liaison à Mbandaka. Vous avez jusqu’au 27 mars 2010 pour postuler par e-mail à wwfrdc@wwfcarpo.org
Il faut un diplôme universitaire de graduat au minimum en administration, droit, communication ou autres domaines apparentés. Expérience de 3 ans au moins dans une fonction similaire au sein d'un environnement dynamique ou doté d'une organisation administrative viable. Expérience de travail dans les ONG de conservation
Les personnes intéressées sont priées de faire parvenir une lettre de demande accompagnée d'un CV à l'attention du Directeur Administratif et Financier du WWF-RDC
- par e-mail : wwfrdc@wwfcarpo.org
- ou par courrier à l'adresse suivante : 14, avenue Sergent Moke, Concession SAFRICAS, Quartier Socimat, Kinshasa / Ngaliema ou Avenue Bolenge no 53, Commune Wangata/Mbandaka.
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lundi 22 mars 2010
Santé : La contrefaçon des médicaments se porte bien en RDC.
En République Démocratique du Congo, le secteur pharmaceutique n’est pas épargné par la contrefaçon. Certains médicaments vendus dans les pharmacies sont loin d’être authentiques. Ce qui constitue un danger pour la santé de la population. Selon l’Organisation mondiale de la santé, des milliers des personnes meurent chaque année à cause des produits pharmaceutiques contrefaits.
Quels sont en RDC, les principaux médicaments contrefaits ? Que fait le gouvernement congolais pour lutter contre cette dangereuse pratique ?
Nous tenterons de répondre à certaines de ces questions dans cette chronique santé.
Selon des sources proches du ministère de la santé en RDC, la présence des médicaments contrefaits sur le marché est attribuée à un manque d’experts pharmaciens dans nos différentes frontières.
L’office congolais de contrôle vérifie leur entrée sur le marché. Ils sont acheminés quelques fois par des voies illicites, sans qu’ils soient analysés par un service spécialisé.
Pour la seule ville de Kinshasa, le ministère de la santé publique a recensé plus de 4000 pharmacies. Nombreuses de ces pharmacies ne respectent pas les normes des conservation des médicaments et sont tenus pour la plupart, par des personnes qui n’en ont pas qualité. Tous ces facteurs contribuent à rendre le secteur pharmaceutique perméable à tout désordre.
Quant aux médicaments contrefaits, le ministère de la santé publique a déjà saisi certains de ces produits, tels que l’alcool dénaturé, l’alcool iodé. Les analyses ont montré que cet alcool est mélangé avec de l’eau. C’est aussi le cas d’autres produits saisis comme la solution dakin, la pommade chrysophanique, la pommade camphrée, la quinine pour enfant.
Il est possible de différencier le vrai et le faux médicament. Pour l’alcool par exemple, selon un pharmacien, il suffit juste à l’acheteur d’allumer une tige d’allumette et de verser quelques gouttes sur la flamme. Si c’est du vrai alcool, la flamme devient plus intense, tandis que si c’est un faux, l’effet sera plutôt contraire. La flamme va baisser d’intensité.
Comme piste de solutions susceptibles de combattre le désordre et la contrefaçon observés dans le secteur pharmaceutique, Briges-Willson Lumbwe, pharmacien et responsable du centre d’information et de promotion médico-pharmaceutique, Cipromed en sigle, préconise un recrutement sérieux du personnel pharmaceutique capable de déceler les bons médicaments des mauvais. A la population congolaise, il leur est conseillé d’aller s’approvisionner dans des pharmacies agrée par l’Etat congolais
chronique de SAMUEL KATSHAK
Tél. : (00243) 998909787
(00243) 810821400
E-mail : papykatshak@yahoo.fr
papykatshak@gmail.com
Quels sont en RDC, les principaux médicaments contrefaits ? Que fait le gouvernement congolais pour lutter contre cette dangereuse pratique ?
Nous tenterons de répondre à certaines de ces questions dans cette chronique santé.
Selon des sources proches du ministère de la santé en RDC, la présence des médicaments contrefaits sur le marché est attribuée à un manque d’experts pharmaciens dans nos différentes frontières.
L’office congolais de contrôle vérifie leur entrée sur le marché. Ils sont acheminés quelques fois par des voies illicites, sans qu’ils soient analysés par un service spécialisé.
Pour la seule ville de Kinshasa, le ministère de la santé publique a recensé plus de 4000 pharmacies. Nombreuses de ces pharmacies ne respectent pas les normes des conservation des médicaments et sont tenus pour la plupart, par des personnes qui n’en ont pas qualité. Tous ces facteurs contribuent à rendre le secteur pharmaceutique perméable à tout désordre.
Quant aux médicaments contrefaits, le ministère de la santé publique a déjà saisi certains de ces produits, tels que l’alcool dénaturé, l’alcool iodé. Les analyses ont montré que cet alcool est mélangé avec de l’eau. C’est aussi le cas d’autres produits saisis comme la solution dakin, la pommade chrysophanique, la pommade camphrée, la quinine pour enfant.
Il est possible de différencier le vrai et le faux médicament. Pour l’alcool par exemple, selon un pharmacien, il suffit juste à l’acheteur d’allumer une tige d’allumette et de verser quelques gouttes sur la flamme. Si c’est du vrai alcool, la flamme devient plus intense, tandis que si c’est un faux, l’effet sera plutôt contraire. La flamme va baisser d’intensité.
Comme piste de solutions susceptibles de combattre le désordre et la contrefaçon observés dans le secteur pharmaceutique, Briges-Willson Lumbwe, pharmacien et responsable du centre d’information et de promotion médico-pharmaceutique, Cipromed en sigle, préconise un recrutement sérieux du personnel pharmaceutique capable de déceler les bons médicaments des mauvais. A la population congolaise, il leur est conseillé d’aller s’approvisionner dans des pharmacies agrée par l’Etat congolais
chronique de SAMUEL KATSHAK
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Que dit la loi congolaise au sujet de la majoration du loyer ?
Le bail ou contrat de location, est un document essentiel pour le propriétaire comme pour le locataire. En précisant clairement les droits et obligations de chacun, il favorise les bonnes relations. Mais dans bien des cas, le contrat de bail n’est pas du tout respecté ni par le locataire ni par le bailleur, lui-même. En RDC et plus particulièrement à Kinshasa, beaucoup de bailleurs augmentent de leur propre gré le montant du loyer sans se référer aux clauses du contrat de location. Une situation qui met en difficulté de nombreux locataires. Dans bien de cas, ils ne sont pas souvent en mesure de faire face à cette majoration. Ce comportement des bailleurs suscite un certain nombre d’interrogations à savoir : Quels sont les droits et obligations des uns et des autres ? Sur base de quoi et à quel moment le coût du loyer peut-il être revu à la hausse ? Que dit la loi lorsque cette majoration porte préjudice au locataire ? Quels sont les droits et obligations des uns et des autres ? Quelles actions peut-on mener en justice contre cette pratique ?
Dans cette chronique, nous proposons des éléments de réponses à certaines de ces questions.
En effet, Il est obligatoire de signer un bail ou un contrat de bail avant d’entrer dans une maison, parce que la loi impose sa rédaction avec la signature du propriétaire et du locataire. Le bail peut être soit établi directement entre le propriétaire et le locataire, soit par un service de l’Etat. Il doit être fait en deux originaux dont un exemplaire est remis à chaque partie. Certaines clauses doivent être mentionnées dans le bail, entre autres : Le nom et l'adresse du propriétaire, la description du logement et de ses annexes (cave, garage, jardin ou autres), le montant et les termes de paiement du loyer ainsi que les conditions de sa révision éventuelle et enfin le montant du dépôt de garantie, si celui-ci est prévu et le montant ou le prix du loyer.
Nous remarquons que de plus en plus, cet arrangement aboutit à un conflit ou problème entre le locataire et son bailleur, surtout si ce dernier veut ou tient à majorer le prix de son loyer.
La bêtise ou l’erreur que font certaines personnes locataires, c’est que elles se contentent d’un arrangement verbal soit avec le bailleur soit avec un membre de la famille du bailleur ou encore elles signent leur contrat de bail sans passer par la commune, au service de l’habitat. Mais, une fois, confrontés à un problème, elles courent à la commune pour trouver une solution devant l’officier.
Notons que la hausse de loyer est un fait réel en République Démocratique du Congo. A Kinshasa par exemple, beaucoup de locataires sont préoccupés par des augmentations intempestives du coût de loyer. Certains locataires ne savent plus à quel saint se vouer. Comme le confirme cet homme qui est locataire.
« Moi je suis locataire dans une commune de la place. Je payais régulièrement mon loyer à mon bailleur. A mon insu, celui-ci avait l`intention de me chasser de sa maison. Pour ce faire, il lui fallait augmenter le loyer de sa maison. Après un jugement, le tribunal corrompu donnera raison à mon bailleur. Devant cette situation, l’on se retrouve avec un loyer majoré de 30 à 50 dollar pour une maison qui ne représente même pas ce prix et où il n’existe aucun confort. Devant cette problème, moi j`ai toujours condamné nos autorité car ils ne protègent pas vraiment les droits des locataires. Aussi je tiens à vous signaler que souvent les bailleurs procèdent à l’augmentation du loyer vers la fin de l`année. »
Contacté à ce sujet, certain bailleur affirment que la demande est plus forte que l’offre. En plus de cette situation, ils précisent qu’il y a des commissionnaires qui influencent certains bailleurs à augmenter le prix de loyer, afin de trouver leur compte. Tout dépend d’un bailleur à un autre.
Que dit alors la loi sur la hausse de prix?
Il faut d’abord savoir que le principe de fixation des prix de loyer n’est pas du tout géré par la loi. Jusqu’à présent, aucun texte ne le régit. Cela reste maintenant à chaque bailleur la latitude d’imposer sa volonté au locataire. Néanmoins, il y a un arrêté ministériel de l’Urbanisme et de l’Habitat qui stipule que l’augmentation ne peut intervenir qu’au terme d’un contrat de bail. Et d’ailleurs le bailleur à le devoir de prévenir son locataire trois mois à l’avance de cette majoration. Le même Arrêté dit aussi qu’en l’espace d’une année, un bailleur ne peut augmenter plus d’une fois le prix de son loyer. Par ailleurs, le code civil en matière de bail fait aussi savoir que les deux parties, c’est à dire le bailleur et le locataire ont le droit de résilier leur contrat quand ils le désirent, mais à condition que le bailleur accorde un préavis de 3 mois à son locataire.
Chronique de SAMUEL KATSHAK
Tél. : 00243998909787
00243810821400
E-mail : papykatshak@yahoo.fr
papykatshak@gmail.com
Dans cette chronique, nous proposons des éléments de réponses à certaines de ces questions.
En effet, Il est obligatoire de signer un bail ou un contrat de bail avant d’entrer dans une maison, parce que la loi impose sa rédaction avec la signature du propriétaire et du locataire. Le bail peut être soit établi directement entre le propriétaire et le locataire, soit par un service de l’Etat. Il doit être fait en deux originaux dont un exemplaire est remis à chaque partie. Certaines clauses doivent être mentionnées dans le bail, entre autres : Le nom et l'adresse du propriétaire, la description du logement et de ses annexes (cave, garage, jardin ou autres), le montant et les termes de paiement du loyer ainsi que les conditions de sa révision éventuelle et enfin le montant du dépôt de garantie, si celui-ci est prévu et le montant ou le prix du loyer.
Nous remarquons que de plus en plus, cet arrangement aboutit à un conflit ou problème entre le locataire et son bailleur, surtout si ce dernier veut ou tient à majorer le prix de son loyer.
La bêtise ou l’erreur que font certaines personnes locataires, c’est que elles se contentent d’un arrangement verbal soit avec le bailleur soit avec un membre de la famille du bailleur ou encore elles signent leur contrat de bail sans passer par la commune, au service de l’habitat. Mais, une fois, confrontés à un problème, elles courent à la commune pour trouver une solution devant l’officier.
Notons que la hausse de loyer est un fait réel en République Démocratique du Congo. A Kinshasa par exemple, beaucoup de locataires sont préoccupés par des augmentations intempestives du coût de loyer. Certains locataires ne savent plus à quel saint se vouer. Comme le confirme cet homme qui est locataire.
« Moi je suis locataire dans une commune de la place. Je payais régulièrement mon loyer à mon bailleur. A mon insu, celui-ci avait l`intention de me chasser de sa maison. Pour ce faire, il lui fallait augmenter le loyer de sa maison. Après un jugement, le tribunal corrompu donnera raison à mon bailleur. Devant cette situation, l’on se retrouve avec un loyer majoré de 30 à 50 dollar pour une maison qui ne représente même pas ce prix et où il n’existe aucun confort. Devant cette problème, moi j`ai toujours condamné nos autorité car ils ne protègent pas vraiment les droits des locataires. Aussi je tiens à vous signaler que souvent les bailleurs procèdent à l’augmentation du loyer vers la fin de l`année. »
Contacté à ce sujet, certain bailleur affirment que la demande est plus forte que l’offre. En plus de cette situation, ils précisent qu’il y a des commissionnaires qui influencent certains bailleurs à augmenter le prix de loyer, afin de trouver leur compte. Tout dépend d’un bailleur à un autre.
Que dit alors la loi sur la hausse de prix?
Il faut d’abord savoir que le principe de fixation des prix de loyer n’est pas du tout géré par la loi. Jusqu’à présent, aucun texte ne le régit. Cela reste maintenant à chaque bailleur la latitude d’imposer sa volonté au locataire. Néanmoins, il y a un arrêté ministériel de l’Urbanisme et de l’Habitat qui stipule que l’augmentation ne peut intervenir qu’au terme d’un contrat de bail. Et d’ailleurs le bailleur à le devoir de prévenir son locataire trois mois à l’avance de cette majoration. Le même Arrêté dit aussi qu’en l’espace d’une année, un bailleur ne peut augmenter plus d’une fois le prix de son loyer. Par ailleurs, le code civil en matière de bail fait aussi savoir que les deux parties, c’est à dire le bailleur et le locataire ont le droit de résilier leur contrat quand ils le désirent, mais à condition que le bailleur accorde un préavis de 3 mois à son locataire.
Chronique de SAMUEL KATSHAK
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vendredi 19 mars 2010
Offre d’emploi : L’ambassade USA à Kinshasa cherche un Spécialiste en Santé Publique et ProCredit Bank Congo un Evaluateur Immobiliers & Mobiliers
L’ambassade des Etats-Unis d’Amérique à Kinshasa cherche un Spécialiste en Santé Publique chargé de la surveillance pour ses bureaux de CDC. Il faut être en possession d’un diplôme universitaire en santé publique, en épidémiologie, en démographie, en statistiques ou dans l’un des domaines de la santé. Avoir trois ans d'expérience dans la surveillance épidémiologique ou des enquêtes à grande échelle du VIH/sida.
Pour tout renseignement, adressez-vous au bureau administratif de l’ambassade américaine (JAO) à Kinshasa, situé sur l’avenue Lukusa, No. 498, en face de la station d’essence « Engen », non loin de la Citibank ; ou appelez le bureau du personnel au No. 081-880-6193. Date limite de dépôt de candidatures : le 25 Mars 2010
Après l’ambassade des USA, c’est au tour de ProCredit Bank Congo recherche, pour son Département Risque de Crédit un « Evaluateur Immobiliers & Mobiliers » pour son siège à Kinshasa pour faire l`évaluation des bâtiments: maisons, appartements, terrains, fermes,
Bâtiments de production, hôtels etc. il faut avoir une formation d`architecte, de géomètre ou de décorateur intérieure ou avoir travaillé dans le domaine d’Evaluation Immobilière. Avoir un esprit analytique. Sens d’organisation et une attention particulière pour les détails; Bonne compétence technique et connaissances des états financiers serait un atout.
Postuler par courrier à l’intention du responsable des Ressources Humaines, à faire parvenir votre candidature au plus tard Samedi 27 Mars 2010 avant 12 heures 00’ à l’adresse ci‐dessus. Les dossiers de candidature doivent comprendre une lettre de motivation en français et Un CV détaillé en français avec la mention obligatoire PCB_CR_EI_03_10 en référence ainsi que la copie de carte de demandeur d’emploi (ONEM).
Au Responsable des Ressources Humaines
Procredit Bank Congo S.a.r.l
Siège Social : 4b, Av. des Aviateurs Kinshasa/Gombe
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
(00243) 998909787
E-Mail : katshak@un.org
papykatshak@gmail.com
papykatshak@yahoo.fr
Pour tout renseignement, adressez-vous au bureau administratif de l’ambassade américaine (JAO) à Kinshasa, situé sur l’avenue Lukusa, No. 498, en face de la station d’essence « Engen », non loin de la Citibank ; ou appelez le bureau du personnel au No. 081-880-6193. Date limite de dépôt de candidatures : le 25 Mars 2010
Après l’ambassade des USA, c’est au tour de ProCredit Bank Congo recherche, pour son Département Risque de Crédit un « Evaluateur Immobiliers & Mobiliers » pour son siège à Kinshasa pour faire l`évaluation des bâtiments: maisons, appartements, terrains, fermes,
Bâtiments de production, hôtels etc. il faut avoir une formation d`architecte, de géomètre ou de décorateur intérieure ou avoir travaillé dans le domaine d’Evaluation Immobilière. Avoir un esprit analytique. Sens d’organisation et une attention particulière pour les détails; Bonne compétence technique et connaissances des états financiers serait un atout.
Postuler par courrier à l’intention du responsable des Ressources Humaines, à faire parvenir votre candidature au plus tard Samedi 27 Mars 2010 avant 12 heures 00’ à l’adresse ci‐dessus. Les dossiers de candidature doivent comprendre une lettre de motivation en français et Un CV détaillé en français avec la mention obligatoire PCB_CR_EI_03_10 en référence ainsi que la copie de carte de demandeur d’emploi (ONEM).
Au Responsable des Ressources Humaines
Procredit Bank Congo S.a.r.l
Siège Social : 4b, Av. des Aviateurs Kinshasa/Gombe
Samuel Katshak
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(00243) 998909787
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jeudi 18 mars 2010
Que dit la loi congolaise au sujet du proxénétisme ?
En République Démocratique du Congo, beaucoup de filles se prostituent non seulement par plaisir mais aussi et souvent malgré elles. De fois même, celles-ci sont forcées par des personnes influentes de faire des rapports sexuels avec d’autres. Il s’agit du proxénétisme. Pourtant, cela est condamnable et puni par la loi congolaise. Face à cette situation, une question se pose : Quels sont les droits des victimes du proxénétisme ?
Nous allons y répondre dans le cadre de notre chronique avocat sans frontière.
D’abord retenons que le proxénétisme est le fait d’embaucher quelqu’un en vue de l’exploiter sexuellement pour assouvir le plaisir sexuel d’autres personnes. Par exemple, le fait de tenir une maison ou un hôtel destiné uniquement pour l’exploitation du désir sexuelle s’appelle aussi du proxénétisme. On appelle aussi proxénétisme une personne vit du produit de la prostitution ou de la débauche des personnes qui sont sous sa responsabilité. Tandisqu’une proxénète est une personne qui exploite la débauche ou la prostitution d’une autre personne avec ou sans leurs consentement. Selon Madame Mujinga, présidente du tribunal des grandes instances de Matete le proxénétisme est une infraction sanctionnée par le législateur congolais. Lorsque les victimes de ces actes de débauche sont âgées de plus de 18 ans, ces sanctions varient entre trois mois à cinq ans de servitude pénale et au paiement d’une amende de cinquante milles à milles francs congolais. Pour les personnes âgées de moins de 18 ans, on parle d’excitation des mineures à la débauche. Dans pareille situation, la loi prévoit des peines allant de cinq à année à vingt années de servitude pénale. En dehors des sanctions pénales prévues par la loi, les victimes de ces différentes formes de violences sexuelles ont le droit d’être dédommagé par les auteurs de ces actes. Ces derniers seront appelés aussi à la réparation des préjudices subits.
Notons que cette pratique de proxénétisme se retrouve partout au Congo, tant dans les centres urbains que dans les plus milieux reculés du pays. A Butembo par exemple, l’ONG de défense des victimes des violences sexuelles se livre à un combat acharné contre cette pratique de débauche. La présidente de cette ONG, CATHY FURA reconnaît que cette traite est une pratique courante à Butembo. Elle affirme qu’il y a même des jeunes filles qui sont utilisées dans les débits de boissons pour non seulement servir, mais aussi pour satisfaire les besoins sexuels de certains hommes. Une pratique motivée et encouragée par certains parents de ce coin du pays. Selon une enquête de cette ONG, au mois de Mars dernier, près de 15 filles ont été forcées par leurs parents, à se livrer à la débauche ; ceci dans le but de satisfaire aux besoins alimentaires et général de leurs familles. A titre d’information, le proxénétisme est classé dans les lois portant sur les violences sexuelles parce que ce sont des actes portant au sexe et aussi parce que la personne qui est exploité sexuellement pour satisfaire les désir sexuels d’un autre, est violentée par cette personne occupant une position supérieure à la sienne. Devant pareilles situations, il est demandé à la population de dénoncer les auteurs de proxénétisme devant le parquet. Aussi les procureurs de la République ou les magistrat du parquet avec les officiers du ministère publics, doivent rechercher les infractions et leurs auteurs afin de les mettre hors d’état de nuire.
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
(00243) 998909787
E-Mail : katshak@un.org
papykatshak@gmail.com
papykatshak@yahoo.fr
Nous allons y répondre dans le cadre de notre chronique avocat sans frontière.
D’abord retenons que le proxénétisme est le fait d’embaucher quelqu’un en vue de l’exploiter sexuellement pour assouvir le plaisir sexuel d’autres personnes. Par exemple, le fait de tenir une maison ou un hôtel destiné uniquement pour l’exploitation du désir sexuelle s’appelle aussi du proxénétisme. On appelle aussi proxénétisme une personne vit du produit de la prostitution ou de la débauche des personnes qui sont sous sa responsabilité. Tandisqu’une proxénète est une personne qui exploite la débauche ou la prostitution d’une autre personne avec ou sans leurs consentement. Selon Madame Mujinga, présidente du tribunal des grandes instances de Matete le proxénétisme est une infraction sanctionnée par le législateur congolais. Lorsque les victimes de ces actes de débauche sont âgées de plus de 18 ans, ces sanctions varient entre trois mois à cinq ans de servitude pénale et au paiement d’une amende de cinquante milles à milles francs congolais. Pour les personnes âgées de moins de 18 ans, on parle d’excitation des mineures à la débauche. Dans pareille situation, la loi prévoit des peines allant de cinq à année à vingt années de servitude pénale. En dehors des sanctions pénales prévues par la loi, les victimes de ces différentes formes de violences sexuelles ont le droit d’être dédommagé par les auteurs de ces actes. Ces derniers seront appelés aussi à la réparation des préjudices subits.
Notons que cette pratique de proxénétisme se retrouve partout au Congo, tant dans les centres urbains que dans les plus milieux reculés du pays. A Butembo par exemple, l’ONG de défense des victimes des violences sexuelles se livre à un combat acharné contre cette pratique de débauche. La présidente de cette ONG, CATHY FURA reconnaît que cette traite est une pratique courante à Butembo. Elle affirme qu’il y a même des jeunes filles qui sont utilisées dans les débits de boissons pour non seulement servir, mais aussi pour satisfaire les besoins sexuels de certains hommes. Une pratique motivée et encouragée par certains parents de ce coin du pays. Selon une enquête de cette ONG, au mois de Mars dernier, près de 15 filles ont été forcées par leurs parents, à se livrer à la débauche ; ceci dans le but de satisfaire aux besoins alimentaires et général de leurs familles. A titre d’information, le proxénétisme est classé dans les lois portant sur les violences sexuelles parce que ce sont des actes portant au sexe et aussi parce que la personne qui est exploité sexuellement pour satisfaire les désir sexuels d’un autre, est violentée par cette personne occupant une position supérieure à la sienne. Devant pareilles situations, il est demandé à la population de dénoncer les auteurs de proxénétisme devant le parquet. Aussi les procureurs de la République ou les magistrat du parquet avec les officiers du ministère publics, doivent rechercher les infractions et leurs auteurs afin de les mettre hors d’état de nuire.
Samuel Katshak
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mercredi 17 mars 2010
Quels sont les droits des enfants chassés du toit paternel ?
En République Démocratique du Congo, beaucoup d’enfants sont rejetés par leurs parents. Pour les uns c’est parce qu’ils sont taxés de sorcellerie, pour d’autres c’est plutôt à cause de la pauvreté, du divorce ou du décès d’un des parents. Parmi ces enfants, la plupart se retrouvent dans la rue. Pourtant la place d’un enfant, c’est à la maison.
Quelle est la part de responsabilité des parents ?
Comment réinsérer ces enfants dans leur famille?
Que dit la loi congolaise sur le droit des enfants chassés du toit paternel ?
Des éléments de réponses au cours de cette chronique.
Tout enfant est un être humain à part entière qui a des droits protégés par la loi. Il a droit à la vie, à l’éducation, à l’alimentation, à la sécurité sociale ainsi qu’à la garde. Ceci dans le seul but de permettre et faciliter son épanouissement dans la société. Ces enfants accusés injustement de sorcellerie, non seulement à Kinshasa, mais ailleurs aussi dans le pays se comptent par milliers. Ils sont accusés d'être à l'origine de malheurs et décès survenus dans leur famille.
Selon Fabrice Kazadi, coordonnateur d’un centre professionnel d’encadrement des jeunes désœuvrés à Kinshasa, acculés par une trop grande misère, injustement taxés d'enfants sorciers, chassés par leur famille, ils sont environ quatorze milles à avoir élu domicile dans la rue où ils vivent de mendicité et de petits travaux, se livrant aux vols, à la drogue, à la prostitution, plongeant peu à peu dans la délinquance dans la ville de Kinshasa.
A Kinshasa, par exemple, les centres d’encadrement des enfants qui accueillent les jeunes de différents âges et sexe ont souvent des problèmes pour replacer ces enfants dans leurs familles. Des difficultés telles que redonner à l’enfant le goût de revivre en famille, chercher à savoir pourquoi il était dans la rue, les expériences acquises dans la rue, combien de date a-t-il passé dans la rue, quel a été son itinéraire pour convaincre sa famille de son retour, surtout s’il a été chassé. A cause de ce que ces enfants on subi soit dans leur famille, dans des églises ou encore ailleurs, certains d’entre eux préfèrent rester dans des centres d’encadrement.
Que dit la loi sur les parents qui chassent leurs enfants de la maison ?
Selon monsieur Mputu, juge au tribunal de paix de la commune de N’djili, aucune disposition claire n’est prévue par la législation congolaise à ce sujet. A en croire à ses dires, un papa qui ne sait pas entretenir et protéger les droits liés au développement et à la survie de ses enfants, peut se voir retirer cette autorité par l’Etat congolais.
Pour matérialiser cette décision, un jugement de déchéance de l’autorité parentale sera prononcé. Une fois cela fait, la garde de cet enfant sera confiée à qui peut lui offrir protection et épanouissement.
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
(00243) 998909787
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Quelle est la part de responsabilité des parents ?
Comment réinsérer ces enfants dans leur famille?
Que dit la loi congolaise sur le droit des enfants chassés du toit paternel ?
Des éléments de réponses au cours de cette chronique.
Tout enfant est un être humain à part entière qui a des droits protégés par la loi. Il a droit à la vie, à l’éducation, à l’alimentation, à la sécurité sociale ainsi qu’à la garde. Ceci dans le seul but de permettre et faciliter son épanouissement dans la société. Ces enfants accusés injustement de sorcellerie, non seulement à Kinshasa, mais ailleurs aussi dans le pays se comptent par milliers. Ils sont accusés d'être à l'origine de malheurs et décès survenus dans leur famille.
Selon Fabrice Kazadi, coordonnateur d’un centre professionnel d’encadrement des jeunes désœuvrés à Kinshasa, acculés par une trop grande misère, injustement taxés d'enfants sorciers, chassés par leur famille, ils sont environ quatorze milles à avoir élu domicile dans la rue où ils vivent de mendicité et de petits travaux, se livrant aux vols, à la drogue, à la prostitution, plongeant peu à peu dans la délinquance dans la ville de Kinshasa.
A Kinshasa, par exemple, les centres d’encadrement des enfants qui accueillent les jeunes de différents âges et sexe ont souvent des problèmes pour replacer ces enfants dans leurs familles. Des difficultés telles que redonner à l’enfant le goût de revivre en famille, chercher à savoir pourquoi il était dans la rue, les expériences acquises dans la rue, combien de date a-t-il passé dans la rue, quel a été son itinéraire pour convaincre sa famille de son retour, surtout s’il a été chassé. A cause de ce que ces enfants on subi soit dans leur famille, dans des églises ou encore ailleurs, certains d’entre eux préfèrent rester dans des centres d’encadrement.
Que dit la loi sur les parents qui chassent leurs enfants de la maison ?
Selon monsieur Mputu, juge au tribunal de paix de la commune de N’djili, aucune disposition claire n’est prévue par la législation congolaise à ce sujet. A en croire à ses dires, un papa qui ne sait pas entretenir et protéger les droits liés au développement et à la survie de ses enfants, peut se voir retirer cette autorité par l’Etat congolais.
Pour matérialiser cette décision, un jugement de déchéance de l’autorité parentale sera prononcé. Une fois cela fait, la garde de cet enfant sera confiée à qui peut lui offrir protection et épanouissement.
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
(00243) 998909787
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Cette parcelle n’est pas à vendre, quelle la valeur juridique de ces écrits ?
A Kinshasa, on retrouve sur certains quartiers ou avenues des banderoles où il est écrit « Cette maison ou cette parcelle n'est pas à vendre ». Ces écrits sont parfois placés sur le mur. Cette phrase serait une mise en garde contre tout celui qui aurait l'intention d'acheter l'immeuble ou la parcelle. Cette situation est de plus en plus fréquente partout ailleurs sur toute l’étendu de la République démocratique du Congo. Elle se rencontre dans la plupart de temps, lors de décès des parents, en l’absence d’un testament rédigé par ces derniers de leur vivant. Ce qui pose des problèmes sérieux de succession. Certains habitants de Kinshasa estiment que cette inscription est parfois l’expression d’une peur de certains propriétaires face à des prédateurs. A titre indicatif, on peut se retrouver devant le cas d’un enfant du défunt qui se permette de vendre une maison, sans l’aval des autres membres de famille. Pour se protéger de ces genres d’actes, les victimes de cette vente vont placer devant leurs maisons une banderole sur lequel il est écrit « cette maison ou cette parcelle n’est pas à vendre. »
Pour le coordonnateur de la chaire Unesco des droits de l’homme de l’Université de Lubumbashi, cette phrase n’a aucune valeur juridique. Mais elle permet d’édifier ou d’alerter la population face une vente ou liquidation illicite d’une parcelle ou d’un bien immeuble faisant objet de litiges entre les différents héritiers d’une même famille. Selon ce dernier, la loi congolaise ne prévoit pas non plus des sanctions contre toute personne qui serait auteur de ces écrits devant sa maison. En plus du droit de succession, la loi exige que la personne acheteur de la dite maison ou parcelle détienne les documents de propriété. Lorsque ce dernier rencontre de l’opposition suite à cette inscription, il doit d’abord prouver qu’il a été lésé et démontrer qu’il y a eu préjudice réel. Une fois fait, il revient aux juridictions compétentes d’évaluer les sanctions et les amendes à adresser à l’une ou l’autre partie.
Selon Maître DOMINIQUE KAMUANDU de l’ONG avocat sans frontière, pour consolider et donner une valeur juridique à cette phrase « Cette maison ou cette parcelle n'est pas à vendre », ses auteurs doivent faire une opposition si leur bien est menacé d’expropriation. Ils doivent écrire au conservateur des titres immobiliers du ressort pour lui demander de ne pas enregistrer, authentifier ou prendre en considération un acte de vente sur cette maison, dès lors que cet acte n’est pas signé par tous les héritiers ou les ayant droit.
Que doivent faire les héritiers d’un bien pour rentrer dans leurs droits ?
Selon le coordonnateur de la chaire Unesco des droits de l’homme de l’Université de Lubumbashi, lorsqu’une personne défunte laisse des héritiers, ces derniers doivent procéder à l’ouverture à l’hôtel de ville, d’une succession. Ils doivent présenter à ce niveau, l’acte de décès du défunt et le titre de propriété de ce dernier. Une fois cette démarche réalisée, on procède à l’établissement d’une attestation de succession sur lequel seront inscrit tous les noms de tous les héritiers.
SAMUEL KATSHAK
Tél. : 00243998909787
00243810821400
E-mail : papykatshak@yahoo.fr
papykatshak@gmail.com
Pour le coordonnateur de la chaire Unesco des droits de l’homme de l’Université de Lubumbashi, cette phrase n’a aucune valeur juridique. Mais elle permet d’édifier ou d’alerter la population face une vente ou liquidation illicite d’une parcelle ou d’un bien immeuble faisant objet de litiges entre les différents héritiers d’une même famille. Selon ce dernier, la loi congolaise ne prévoit pas non plus des sanctions contre toute personne qui serait auteur de ces écrits devant sa maison. En plus du droit de succession, la loi exige que la personne acheteur de la dite maison ou parcelle détienne les documents de propriété. Lorsque ce dernier rencontre de l’opposition suite à cette inscription, il doit d’abord prouver qu’il a été lésé et démontrer qu’il y a eu préjudice réel. Une fois fait, il revient aux juridictions compétentes d’évaluer les sanctions et les amendes à adresser à l’une ou l’autre partie.
Selon Maître DOMINIQUE KAMUANDU de l’ONG avocat sans frontière, pour consolider et donner une valeur juridique à cette phrase « Cette maison ou cette parcelle n'est pas à vendre », ses auteurs doivent faire une opposition si leur bien est menacé d’expropriation. Ils doivent écrire au conservateur des titres immobiliers du ressort pour lui demander de ne pas enregistrer, authentifier ou prendre en considération un acte de vente sur cette maison, dès lors que cet acte n’est pas signé par tous les héritiers ou les ayant droit.
Que doivent faire les héritiers d’un bien pour rentrer dans leurs droits ?
Selon le coordonnateur de la chaire Unesco des droits de l’homme de l’Université de Lubumbashi, lorsqu’une personne défunte laisse des héritiers, ces derniers doivent procéder à l’ouverture à l’hôtel de ville, d’une succession. Ils doivent présenter à ce niveau, l’acte de décès du défunt et le titre de propriété de ce dernier. Une fois cette démarche réalisée, on procède à l’établissement d’une attestation de succession sur lequel seront inscrit tous les noms de tous les héritiers.
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Offre d’emploi : Medicus Mundi Navarra recrute un médecin et Search for common ground recherche un assistant théâtre participatif
Medicus Mundi navarra recrute un médecin coordonnateur pour 1 an CDD (Contrat à Durée Déterminé), avec une période d’essai de 6 mois (durant laquelle un stage pratique de deux semaines est prévu) et possibilité de renouvellement. C’est pour le Projet d’appui aux Zones de Santé de Matete, Ngaba et Kisenso à Kinshasa. vous avez jusqu’au Vendredi 26 Mars 2010 à 10 heures précises pour postuler au bureau de Medicus Mundi situé sur la 4ème Rue Limete résidentiel au n° 349 petit Boulevard Lumumba à Kinshasa. Il faut avoir un titre universitaire supérieur : médecin, Spécialisation en Santé Publique ou formation complémentaire en Santé Publique (masters, cours certifiés, etc.). Expérience d’au moins cinq (5) ans en gestion de systèmes de santé.
DOSSIERS DE CANDIDATURES
Les dossiers de candidatures devront comprendre :
•Une demande d’emploi manuscrite
•Un curriculum vitae détaillé
•Des copies des diplômes et des certificats obtenus dûment certifiés par une autorité compétente reconnue
•Des attestations des services dûment certifiés par les anciens employeurs
•Trois personnes de référence
Une autre opportunité d’emploi concerne Search for common ground qui est à la recherche d’un assistant théâtre participatif pour Goma. Search for common ground est une organisation nationale de droit américain a but non lucratif. Pour postuler, il faut avoir au minimum un diplôme d’état. Avec une expérience de deux ans en théâtre avec une ONG, de l’expérience dans la gestion des équipes, enfin résider à Goma ou avec possibilité d’y résider sans frais additionnels.
Ceux qui sont intéressés peuvent envoyer leur candidature c’est-à-dire, CV et lettre de motivation, des photocopies des titres académiques ainsi que 3 personnes de référence avec coordonnés téléphonique par email au plus tard le 19 mars à 17heure à rdc@sfcg.org avec comme titre de votre message : assistant theatre-Goma.
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
(00243) 998909787
E-Mail : katshak@un.org
papykatshak@gmail.com
papykatshak@yahoo.fr
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•Un curriculum vitae détaillé
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•Des attestations des services dûment certifiés par les anciens employeurs
•Trois personnes de référence
Une autre opportunité d’emploi concerne Search for common ground qui est à la recherche d’un assistant théâtre participatif pour Goma. Search for common ground est une organisation nationale de droit américain a but non lucratif. Pour postuler, il faut avoir au minimum un diplôme d’état. Avec une expérience de deux ans en théâtre avec une ONG, de l’expérience dans la gestion des équipes, enfin résider à Goma ou avec possibilité d’y résider sans frais additionnels.
Ceux qui sont intéressés peuvent envoyer leur candidature c’est-à-dire, CV et lettre de motivation, des photocopies des titres académiques ainsi que 3 personnes de référence avec coordonnés téléphonique par email au plus tard le 19 mars à 17heure à rdc@sfcg.org avec comme titre de votre message : assistant theatre-Goma.
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mardi 16 mars 2010
Offre d’emploi : le PNUD recherche un logisticien et le projet de renforcement des capacités de gouvernance un coordonnateur national adjoint.
Ce poste du PNUD est une opportunité pour un logisticien chargé de la gestion des actifs. La référence est CDS/2009/032. Vous avez jusqu’au 25 mars pour postuler à recrutement@undp.org. C’est pour faire le suivi des commandes des consommables; Assurer que les équipements et matériels sont adéquatement inventoriés ; Procéder à des inventaires périodiques, et gérer les approvisionnements ;
Un Diplôme universitaire de graduat ou équivalent en administration générale, en gestion ou en logistique ; Avoir une expérience professionnelle avérée, minimum trois ans en administration, en gestion des stocks ou en logistique.
• Faire preuve de la maîtrise des outils et techniques de gestion de stock. Etre capable de travailler dans un environnement institutionnel en situation de post-conflit (ONG, Système des Nations Unies). Avoir la capacité de travailler sous pression et dans un environnement logistique, sécuritaire et relationnel difficile
• Maîtriser les techniques pédagogiques et être capable d’assurer le transfert de connaissances.
Les candidats potentiels sont priés de faire parvenir leurs CV et lettre de motivation à : recrutement.rdc@undp.org avec les mentions impératives du n° de la vacance de poste (CDS/2009/032) et du titre du poste : « Logisticien – Gestion des Actifs »
Dans le même ordre d’idée, le projet de renforcement des capacités de gouvernance lance une opportunité d’emploi au poste de coordonnateur national adjoint du PRCG. La personne intéressée doit avoir une formation de niveau universitaire en droit, économie, finances, administrations ou gestion. Il doit être de nationalité congolaise. Justifier d’une expérience professionnelle d’au moins 5 ans dans la gestion des projets ou des entreprises privées. Les candidats intéressés peuvent postuler par e-mail avant le 23 mars 2010 avec comme objet : coordonnateur national adjoint du PRCG par mail à prcgrdc@gmail.com envoyez un CV et une lettre de motivation.
Samuel Katshak
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Un Diplôme universitaire de graduat ou équivalent en administration générale, en gestion ou en logistique ; Avoir une expérience professionnelle avérée, minimum trois ans en administration, en gestion des stocks ou en logistique.
• Faire preuve de la maîtrise des outils et techniques de gestion de stock. Etre capable de travailler dans un environnement institutionnel en situation de post-conflit (ONG, Système des Nations Unies). Avoir la capacité de travailler sous pression et dans un environnement logistique, sécuritaire et relationnel difficile
• Maîtriser les techniques pédagogiques et être capable d’assurer le transfert de connaissances.
Les candidats potentiels sont priés de faire parvenir leurs CV et lettre de motivation à : recrutement.rdc@undp.org avec les mentions impératives du n° de la vacance de poste (CDS/2009/032) et du titre du poste : « Logisticien – Gestion des Actifs »
Dans le même ordre d’idée, le projet de renforcement des capacités de gouvernance lance une opportunité d’emploi au poste de coordonnateur national adjoint du PRCG. La personne intéressée doit avoir une formation de niveau universitaire en droit, économie, finances, administrations ou gestion. Il doit être de nationalité congolaise. Justifier d’une expérience professionnelle d’au moins 5 ans dans la gestion des projets ou des entreprises privées. Les candidats intéressés peuvent postuler par e-mail avant le 23 mars 2010 avec comme objet : coordonnateur national adjoint du PRCG par mail à prcgrdc@gmail.com envoyez un CV et une lettre de motivation.
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Comment obtenir un titre de propriété en RDC ?
Qu’est-ce qu’un titre de propriété ? Comment reconnaître un titre de propriété authentique ? Quelles sont les démarches à suivre ? Comment l’obtient-on ? Qui a le droit de le délivrer ? Des questions qu’on ne se pose pas toujours, mais qui parfois compliquent lorsqu’on est confronté à des problèmes fonciers.
Selon la loi foncière, le droit de propriété est le droit d’obtenir un titre foncier, toute personne de bonne morale et physique dans n’importe quelle partie de la République. Ce titre s’octroi quand vous achetez une parcelle et la mettez en valeur. On peut devenir propriétaire d’un titre soit par donation, par prescription, par succession ou par testament. Pour avoir un titre de propriété authentique, la démarche à suivre est simple. Selon le ministère des affaires foncières, il faut qu’il y ai un arrêté du ministre des affaires foncières qui crée le lotissement. Après cela, on procède au bornage, morcellement et à la distribution des contrats.
De son côté, le chef de division du cadastre pense qu’il faut que le requérrant écrive au conservateur des titres. Celui-ci va mettre son avis, qui sera envoyé au chef du bureau du domaine foncier. A ce niveau, une demande des travaux sera renvoyée au cadastre en vue de designer un géomètre qui va faire le constat sur le lieu. Après ce constat du géomètre, on va attribuer un numéro cadastral accompagné d’un contrat de propriété au requérrant. L’affaire Socopao à Kinshasa illustre mieux ce problème de titres de propriété. Les personnes qui ont, par exemple, occupé ces sites affirment les avoir acheté ou obtenu en bonne et due forme. Ils affirment avoir même des contrats délivrés par les conservateurs des titres immobiliers.
Comment reconnaître un titre de propriété authentique, afin d’éviter tous ces problèmes ?
Pour le conservateur des titres immobiliers, un document est considéré comme titre de propriété quant il est délivré par le conservateur des titres immobiliers. Celui-ci s’appelle certificat d’enregistrement. Pour être sure que ce certificat est authentique et a été délivré par le conservateur des titres immobiliers, il faut aller à la conservation pour vérifier dans le registre les références de ce certificat d’enregistrement.
Une chronique rédigée par
SAMUEL KATSHAK
Tél. : 00243998909787
00243810821400
E-mail : papykatshak@yahoo.fr
papykatshak@gmail.com
Selon la loi foncière, le droit de propriété est le droit d’obtenir un titre foncier, toute personne de bonne morale et physique dans n’importe quelle partie de la République. Ce titre s’octroi quand vous achetez une parcelle et la mettez en valeur. On peut devenir propriétaire d’un titre soit par donation, par prescription, par succession ou par testament. Pour avoir un titre de propriété authentique, la démarche à suivre est simple. Selon le ministère des affaires foncières, il faut qu’il y ai un arrêté du ministre des affaires foncières qui crée le lotissement. Après cela, on procède au bornage, morcellement et à la distribution des contrats.
De son côté, le chef de division du cadastre pense qu’il faut que le requérrant écrive au conservateur des titres. Celui-ci va mettre son avis, qui sera envoyé au chef du bureau du domaine foncier. A ce niveau, une demande des travaux sera renvoyée au cadastre en vue de designer un géomètre qui va faire le constat sur le lieu. Après ce constat du géomètre, on va attribuer un numéro cadastral accompagné d’un contrat de propriété au requérrant. L’affaire Socopao à Kinshasa illustre mieux ce problème de titres de propriété. Les personnes qui ont, par exemple, occupé ces sites affirment les avoir acheté ou obtenu en bonne et due forme. Ils affirment avoir même des contrats délivrés par les conservateurs des titres immobiliers.
Comment reconnaître un titre de propriété authentique, afin d’éviter tous ces problèmes ?
Pour le conservateur des titres immobiliers, un document est considéré comme titre de propriété quant il est délivré par le conservateur des titres immobiliers. Celui-ci s’appelle certificat d’enregistrement. Pour être sure que ce certificat est authentique et a été délivré par le conservateur des titres immobiliers, il faut aller à la conservation pour vérifier dans le registre les références de ce certificat d’enregistrement.
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mardi 2 mars 2010
Les U.S.A au secours de l’économie et du système bancaire congolais
L’Ambassade américaine veut faire du "Mobile Banking" une réalité en République Démocratique du Congo. D’où la tenue ce vendredi 26 février 2010 à Kinshasa, d’une journée de sensibilisation et d’information sur l’opportunité de la mise en place de cette nouvelle technologie. Il s’agit, d’après la conseillère économique de cette ambassade, d’un nouveau système de payement par téléphone mobile. Il permet, selon Elisabeth Jaffee, d’effectuer diverses transactions bancaires à partir de n’importe coin du pays. Selon la conseillère économique de l’ambassade des Etats Unies en RDC, cela pourra augmenter l’efficacité des affaires et ainsi soutenir le développement de la RDC. Il faut cependant noter que pour mettre en application cette technologie au Congo Kinshasa, plusieurs défis doivent être relevés au préalable.
En faisant du " Mobile banking " une réalité en RDC, le gouvernement américain, par son ambassade est déterminée à utiliser la technologie pour relever les quelques plus grands défis de la RDC en matière des services bancaires. Selon William J. Garvelink, ambassadeur des Etats Unies en RDC, le programme mise en œuvre de la banque sur téléphone mobile, une réalité en RDC est la première étape de l'engagement de son pays à voir les nouvelles la technologie utilisées pour soutenir le développement économique et social de la RDC.
Justifiant le choix de faire la banque sur téléphone mobile, l'ambassadeur américain à Kinshasa a affirmé que l'impact de la technologie du téléphone mobile sur la vie socio économique, notamment l'augmentation de la croissance économique et de ses utilisateurs, est aujourd’hui incontestable. C'est pourquoi il est nécessaire d'aller plus loin avec l'usage traditionnel de cet outil important de communication qu'est le téléphone mobile qui a fait une pénétration formidable dans la vie de la population.
Il faut dire que la banque sur téléphone mobile peut constituer un atout majeure au développement du secteur économique de la RDC, d'autant qu'elle peut apporter les services financiers à ceux qui sont dans les zones rurales éloignées, surtout dans un pays très vaste comme la RDC, avec des infrastructures routières presque inexistantes ou en état de délabrement avancé. Selon ses initiateurs, la banque sur téléphone mobile présente bien des avantages. Cette technologie peut faire bénéficier aux Congolais de toutes les provinces d'un accès en expansion à un éventail de services financiers, du versement au micro finances et aux transactions commerciales de base. Elle peut aussi aider à améliorer la gouvernance économique et accroître la gestion des finances publiques. Le gouvernement congolais qui a du mal à assurer le transport des soldes des militaires et des salaires des fonctionnaires de l'Etat et enseignants à travers tout le territoire du pays, peut trouver en cette technologie une solution appropriée.
La banque sur téléphone mobile, qui peut constituer un mécanisme sécurisé moderne et une livraison transparente des salaires et soldes, peut s'avérer un remède contre la corruption qui gangrène encore la plupart de secteurs de la vie nationale congolaise.
Samuel Katshak
Tél. : (00243)810821400
(00243) 998909787
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papykatshak@gmail.com
papykatshak@yahoo.fr
En faisant du " Mobile banking " une réalité en RDC, le gouvernement américain, par son ambassade est déterminée à utiliser la technologie pour relever les quelques plus grands défis de la RDC en matière des services bancaires. Selon William J. Garvelink, ambassadeur des Etats Unies en RDC, le programme mise en œuvre de la banque sur téléphone mobile, une réalité en RDC est la première étape de l'engagement de son pays à voir les nouvelles la technologie utilisées pour soutenir le développement économique et social de la RDC.
Justifiant le choix de faire la banque sur téléphone mobile, l'ambassadeur américain à Kinshasa a affirmé que l'impact de la technologie du téléphone mobile sur la vie socio économique, notamment l'augmentation de la croissance économique et de ses utilisateurs, est aujourd’hui incontestable. C'est pourquoi il est nécessaire d'aller plus loin avec l'usage traditionnel de cet outil important de communication qu'est le téléphone mobile qui a fait une pénétration formidable dans la vie de la population.
Il faut dire que la banque sur téléphone mobile peut constituer un atout majeure au développement du secteur économique de la RDC, d'autant qu'elle peut apporter les services financiers à ceux qui sont dans les zones rurales éloignées, surtout dans un pays très vaste comme la RDC, avec des infrastructures routières presque inexistantes ou en état de délabrement avancé. Selon ses initiateurs, la banque sur téléphone mobile présente bien des avantages. Cette technologie peut faire bénéficier aux Congolais de toutes les provinces d'un accès en expansion à un éventail de services financiers, du versement au micro finances et aux transactions commerciales de base. Elle peut aussi aider à améliorer la gouvernance économique et accroître la gestion des finances publiques. Le gouvernement congolais qui a du mal à assurer le transport des soldes des militaires et des salaires des fonctionnaires de l'Etat et enseignants à travers tout le territoire du pays, peut trouver en cette technologie une solution appropriée.
La banque sur téléphone mobile, qui peut constituer un mécanisme sécurisé moderne et une livraison transparente des salaires et soldes, peut s'avérer un remède contre la corruption qui gangrène encore la plupart de secteurs de la vie nationale congolaise.
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