La date limite des dépôts des candidatures pour cette l’unité de Lutte Contre la Pauvreté est fixé au 17 mai 2010. Le lieu d’affectation est Kinshasa en RDC pour une durée d’une année, avec possibilité de renouvellement. La référence de l’offrre est CDS/2010/044.
Sous la tutelle du Directeur Pays Adjoint au programme, l'Associé au programme aura à soutenir la formulation des stratégies du programme et de la mise en oeuvre du Plan d'action programmatique du bureau.
Il doit avoir un diplôme Universitaire dans les domaines de la gestion, économie, droit et /ou similaires.
Le candidat à ce poste devra avoir 5 à 7 d'expérience au niveau national ou international dans une institution s'occupant de développement. Il devra en plus avoir une l’expérience dans l'utilisation des ordinateurs et des logiciels de Bureau (MS Word, Excel, etc…) et des systèmes de gestion sur internet.
Une autre opportunité d’emploi est celle du bureau de coordination des affaires humanitaires, Ocha en sigle, qui est à la recherche d’un chargé des ressources humaines assistants pour une année de contrat renouvelable selon la disponibilité budgétaire et les performances, pour contribuer aux réflexions internes de l’organisation en matière de ressources humaines. Le
Poste d’attache pour cette offre est kinshasa.
Les candidats intéressés ont jusqu’au 15 mai 2010 pour postuler et la référence de l’offre est 008/2010. C’est pour contribuer aux réflexions internes de l’organisation en matière de ressources humaines
Le chargé des ressources humaines assistants doit avoir au moins au minimum un diplôme d’étude universitaire en gestion des ressources humaines ou dans un domaine apparenté comme l’administration publique. Avec 5 ans d’expérience dans le domaine du conseil en ressources humaines ou de la gestion du personnel.
Votre dossier doit comprendre une lettre de demande d’emploi manuscrite, un CV, un P11, des photocopies des diplômes, vos coordonnées cad adresse physique, numéro de téléphone et e-mail.
Envoyez votre candidature avec la référence de l’offre ou allez déposer votre dossier au chef du bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires, en RDC, sise immeuble Losonia, boulevard du 30 juin, 10ème étage.
Samuel Katshak
Tél. :(00243) 810821400
(00243) 998909787
E-Mail : katshak@un.org
papykatshak@gmail.com
papykatshak@yahoo.fr
vendredi 7 mai 2010
mardi 4 mai 2010
Journée mondiale de la presse :« la situation des journalistes est précaire en RDC»
Le monde entier a célébré lundi 03 Mai 2010 la journée mondiale de la liberté de la presse. Une occasion pour les journalistes du monde entier en général et de la RDC en particulier, de se souvenir des nombreux confrères et consœurs victimes d’injustices sociales, des pressions, des harcèlement, d’intimidation, voire même d’agressions physiques de la part du pouvoir public qui cherche à museler la presse, en procédant à la rétention de l’information.
Cette information là même qui fâche et incite ces différents décideurs à revoir leurs actions et mode de gestion de la chose publique.
Profitant de l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la presse, Madame Irina Bokova, Directrice générale de l’UNESCO, a indiqué que la liberté d’information est le principe selon lequel les organisations et les gouvernements ont le devoir de communiquer ou de rendre facilement accessibles les informations qu’ils détiennent à quiconque souhaite en prendre connaissance, en vertu du droit du public d’être informé. Selon cette responsable de l’Unesco, le droit de savoir est la clé d’autres droits fondamentaux, et le gage de plus de transparence, de justice et de développement. Avec la liberté d’expression, qui lui est complémentaire, il est l’assise même de la démocratie.
Toujours en marge de la commémoration de la journée internationale de la liberté de la presse, l’Observatoire congolais des medias, OMEC, a publié lundi 03 Mai 2010 un vade mecum sur la sécurité des journalistes en R.D.C. Celui-ci le résultat d’un atelier d’une semaine organisé par l’OMEC sur le thème ‘tolérance zéro et la sécurité des journalistes : défis et perspectives’.
Dans le lot d’atteinte à la liberté de la presse et des journalistes, Polydor MUBOYAYI, Président de l’OMEC, a signalé l’arrestation de trois journalistes congolais depuis samedi 01 mai dernier aux cachots de la légion de la police nationale d’intervention rapide, PIR, dans la commune de Kasa- Vubu. Parmi eux, Patrick NGBANGA du journal l’Expression et Steve WEMBI, collaborateur de l’agence Chine Nouvelle. Selon les membres de leurs familles, ils ont été appréhendés par la PIR juste après le défilé du 1er mai sur le boulevard Triomphal. On reprocherait aux trois journalistes la publication des articles jugés hostiles à un chef d’entreprise de la place.
Dans le même registre, au cours du mois d’avril dernier, l’ONG journaliste en danger, JED s’est indigné de l’arrestation de Gilson Ninga, directeur de publication de l’hebdomadaire kinois Le Journal. Cet hebdomadaire est suspendu depuis six mois pour avoir publié un communiqué des FDLR.
Selon Donat Mbaya, convoqué dans la même période au parquet, ce confrère a été écroué après son audition par un magistrat. D’où son interrogation :
Pour Claude Buse, un expert en communication et analyste politique, on arrêtera toujours les journalistes pour des raisons que seuls ceux qui le font connaissent; parce qu’en fait la limite à la liberté de la presse ce sont les droits, l'honneur et la personnalité des autres. D'autres ajoutent encore l'équilibre, l'ordre et la sécurité sociaux ; des notions sujettes à d'interprétations diverses.
Mais il demeure aussi vrai que toujours et partout, chaque journaliste devra mettre la chance de son côté et PREVENIR en se mettant à l'abri sous le couvert des règles déontologiques et éthiques.
La collecte, le traitement et la diffusion d'une information répondent à des critères objectifs. Pour Claude Buse,
Sans source, le journaliste ou la chaîne assume la responsabilité pour ne pas dire la paternité de l'information, conclut ce confrère.
Il faut rappeler que cette journée mondiale de la liberté de la presse a été célébrée différemment sur toute l’étendue de la RDC. A l’Equateur par exemple, la presse va plutôt mal. C’est le résultat global de l’autopsie faite à l’issue de la journée de réflexion organisée par la presse locale à Mbandaka, chef lieu de cette province. A cette occasion, les Journalistes de Mbandaka ont déploré le manque de visibilité et d’opérationnalité des corporations des professionnels de médias à l’Equateur. De cette analyse, il ressort que les représentations provinciales de l’UNPC et de l’OMEC notamment, n’existent que de noms. De même, les journalistes ont saisi l’occasion pour condamner le manque de professionnalisme dans le chef de la plupart d’entre eux, d’une part, et la politisation à outrance des radios privées par leurs promoteurs, pour la plupart, des opérateurs politiques au pouvoir.
Toujours dans cette même province l’Equateur, et cette fois ci à Gemena, la presse locale a organisé une journée de réflexion à l’occasion de cette célébration de la Journée Internationale de la liberté de la presse. Celle-ci est axée sur le thème « Où sommes-nous les journalistes du Sud-Ubangi ? ».
Ces journalistes ont mis à profit cette journée pour demander aux responsables des radios locales un acte d’engagement en vue d’obtenir la liberté de faire passer sans discrimination les messages de tous les partis politiques et de la société sur les antennes de leurs radios.
Ils ont aussi saisi cette occasion pour demander l’implantation à Gemena des antennes de JED (Journalistes en Danger) et de l’OMEC (Observatoire des Médias Congolais).
Journée de la liberté de la presse, cette fois ci célébrée à Bukavu au Sud Kivu lundi 3 avril 2010 sur une note assez positive. L’Union nationale de la presse de cette province a notée des avancées dans la lutte pour la protection des journalistes sur place. Le président de cette corporation l’a dit lors d’une séance d’échange en vue ayant réuni près de 100 journalistes de la ville de Bukavu à la salle Concordia. Ils ont échangé sur plusieurs problématiques en donnant une large place à la sécurité et à la prévention des crimes dont sont victimes les journalistes de cette province depuis quelques années. Cela suite aux assassinats de trois des confrères dont deux de la radio Okapi, en la personne de Serge Maheshe et Didace Namujimbo.
L’UNPC a remis, à cette occasion, à chaque journaliste un code de sécurité élaborée pour prévenir les risques liés à sa sécurité. Pour ce qui concerne les cas des journalistes assassinés, l’UNPC remet en cause les enquêtes dans le procès sur l’assassinat du journaliste Serge Maheshe.
Terminons à Kinshasa pour annoncer que 4 journalistes ont été à l’honneur en cette journée du 3 avril 2010 consacrée à la liberté de la presse. Il s’agit notamment Madame Huguette Yeta de Numerica télévision, Serge Bahati Sikuli de Radio Moto Butembo Beni au Nord Kivu, de Franck Baku, un bloggueur indépendant et enfin de Luc Roger Mbala du journal l’Observateur pour la presse écrite. Ils ont été récompensés par l’Ambassade des Etats-Unis dans le cadre de la première édition du prix Benjamin Franklin. Ce prix est décerné aux meilleurs journalistes qui ont couvert des sujets se rapportant à la politique intérieure comme extérieure des Etats-Unis. Les domaines concernés sont la presse écrite, l’audiovisuel, la radio et le web. Le jury de ce prix était composé d’un professeur de journalisme, des représentants de l’Union nationale de la presse du Congo, UNPC en sigle, de l’OMEC, de JED et de l’Ambassade des Etats-Unis. Ce jury s’est basé sur les critères tels que l’originalité du sujet, l’indépendance d’esprit du journaliste, la responsabilité et la vérité.
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
(00243) 998909787
E-Mail : katshak@un.org
papykatshak@gmail.com
papykatshak@yahoo.fr
Cette information là même qui fâche et incite ces différents décideurs à revoir leurs actions et mode de gestion de la chose publique.
Profitant de l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la presse, Madame Irina Bokova, Directrice générale de l’UNESCO, a indiqué que la liberté d’information est le principe selon lequel les organisations et les gouvernements ont le devoir de communiquer ou de rendre facilement accessibles les informations qu’ils détiennent à quiconque souhaite en prendre connaissance, en vertu du droit du public d’être informé. Selon cette responsable de l’Unesco, le droit de savoir est la clé d’autres droits fondamentaux, et le gage de plus de transparence, de justice et de développement. Avec la liberté d’expression, qui lui est complémentaire, il est l’assise même de la démocratie.
Toujours en marge de la commémoration de la journée internationale de la liberté de la presse, l’Observatoire congolais des medias, OMEC, a publié lundi 03 Mai 2010 un vade mecum sur la sécurité des journalistes en R.D.C. Celui-ci le résultat d’un atelier d’une semaine organisé par l’OMEC sur le thème ‘tolérance zéro et la sécurité des journalistes : défis et perspectives’.
Dans le lot d’atteinte à la liberté de la presse et des journalistes, Polydor MUBOYAYI, Président de l’OMEC, a signalé l’arrestation de trois journalistes congolais depuis samedi 01 mai dernier aux cachots de la légion de la police nationale d’intervention rapide, PIR, dans la commune de Kasa- Vubu. Parmi eux, Patrick NGBANGA du journal l’Expression et Steve WEMBI, collaborateur de l’agence Chine Nouvelle. Selon les membres de leurs familles, ils ont été appréhendés par la PIR juste après le défilé du 1er mai sur le boulevard Triomphal. On reprocherait aux trois journalistes la publication des articles jugés hostiles à un chef d’entreprise de la place.
Dans le même registre, au cours du mois d’avril dernier, l’ONG journaliste en danger, JED s’est indigné de l’arrestation de Gilson Ninga, directeur de publication de l’hebdomadaire kinois Le Journal. Cet hebdomadaire est suspendu depuis six mois pour avoir publié un communiqué des FDLR.
Selon Donat Mbaya, convoqué dans la même période au parquet, ce confrère a été écroué après son audition par un magistrat. D’où son interrogation :
Est-ce qu’en RDC la détention est la règle, et la liberté l’exception ?
Pour Claude Buse, un expert en communication et analyste politique, on arrêtera toujours les journalistes pour des raisons que seuls ceux qui le font connaissent; parce qu’en fait la limite à la liberté de la presse ce sont les droits, l'honneur et la personnalité des autres. D'autres ajoutent encore l'équilibre, l'ordre et la sécurité sociaux ; des notions sujettes à d'interprétations diverses.
Mais il demeure aussi vrai que toujours et partout, chaque journaliste devra mettre la chance de son côté et PREVENIR en se mettant à l'abri sous le couvert des règles déontologiques et éthiques.
La collecte, le traitement et la diffusion d'une information répondent à des critères objectifs. Pour Claude Buse,
il est demande à tout journaliste de sourcer son information, à moins que la source n'ait requis l'anonymat. Et même là, souvent, on dit d'après des sources (médicales, militaires, policières, politiques, etc.).....
Sans source, le journaliste ou la chaîne assume la responsabilité pour ne pas dire la paternité de l'information, conclut ce confrère.
Il faut rappeler que cette journée mondiale de la liberté de la presse a été célébrée différemment sur toute l’étendue de la RDC. A l’Equateur par exemple, la presse va plutôt mal. C’est le résultat global de l’autopsie faite à l’issue de la journée de réflexion organisée par la presse locale à Mbandaka, chef lieu de cette province. A cette occasion, les Journalistes de Mbandaka ont déploré le manque de visibilité et d’opérationnalité des corporations des professionnels de médias à l’Equateur. De cette analyse, il ressort que les représentations provinciales de l’UNPC et de l’OMEC notamment, n’existent que de noms. De même, les journalistes ont saisi l’occasion pour condamner le manque de professionnalisme dans le chef de la plupart d’entre eux, d’une part, et la politisation à outrance des radios privées par leurs promoteurs, pour la plupart, des opérateurs politiques au pouvoir.
Toujours dans cette même province l’Equateur, et cette fois ci à Gemena, la presse locale a organisé une journée de réflexion à l’occasion de cette célébration de la Journée Internationale de la liberté de la presse. Celle-ci est axée sur le thème « Où sommes-nous les journalistes du Sud-Ubangi ? ».
Ces journalistes ont mis à profit cette journée pour demander aux responsables des radios locales un acte d’engagement en vue d’obtenir la liberté de faire passer sans discrimination les messages de tous les partis politiques et de la société sur les antennes de leurs radios.
Ils ont aussi saisi cette occasion pour demander l’implantation à Gemena des antennes de JED (Journalistes en Danger) et de l’OMEC (Observatoire des Médias Congolais).
Journée de la liberté de la presse, cette fois ci célébrée à Bukavu au Sud Kivu lundi 3 avril 2010 sur une note assez positive. L’Union nationale de la presse de cette province a notée des avancées dans la lutte pour la protection des journalistes sur place. Le président de cette corporation l’a dit lors d’une séance d’échange en vue ayant réuni près de 100 journalistes de la ville de Bukavu à la salle Concordia. Ils ont échangé sur plusieurs problématiques en donnant une large place à la sécurité et à la prévention des crimes dont sont victimes les journalistes de cette province depuis quelques années. Cela suite aux assassinats de trois des confrères dont deux de la radio Okapi, en la personne de Serge Maheshe et Didace Namujimbo.
L’UNPC a remis, à cette occasion, à chaque journaliste un code de sécurité élaborée pour prévenir les risques liés à sa sécurité. Pour ce qui concerne les cas des journalistes assassinés, l’UNPC remet en cause les enquêtes dans le procès sur l’assassinat du journaliste Serge Maheshe.
Terminons à Kinshasa pour annoncer que 4 journalistes ont été à l’honneur en cette journée du 3 avril 2010 consacrée à la liberté de la presse. Il s’agit notamment Madame Huguette Yeta de Numerica télévision, Serge Bahati Sikuli de Radio Moto Butembo Beni au Nord Kivu, de Franck Baku, un bloggueur indépendant et enfin de Luc Roger Mbala du journal l’Observateur pour la presse écrite. Ils ont été récompensés par l’Ambassade des Etats-Unis dans le cadre de la première édition du prix Benjamin Franklin. Ce prix est décerné aux meilleurs journalistes qui ont couvert des sujets se rapportant à la politique intérieure comme extérieure des Etats-Unis. Les domaines concernés sont la presse écrite, l’audiovisuel, la radio et le web. Le jury de ce prix était composé d’un professeur de journalisme, des représentants de l’Union nationale de la presse du Congo, UNPC en sigle, de l’OMEC, de JED et de l’Ambassade des Etats-Unis. Ce jury s’est basé sur les critères tels que l’originalité du sujet, l’indépendance d’esprit du journaliste, la responsabilité et la vérité.
Samuel Katshak
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lundi 3 mai 2010
La première édition du prix du journalisme Benjamin Franklin a vécu à Kinshasa
Initié par l’Ambassade des États-unis à Kinshasa en Mai 2009, le Prix annuel Benjamin Franklin du Journalisme vise à honorer ce lundi 03 mai 2010, journée mondiale de la presse, les journalistes congolais qui font montre d’excellence dans leur travail, à travers la couverture originale de sujets se rapportant à la politique intérieure, la société, la culture et l’économie américaines ainsi qu’à la politique étrangère des États-unis envers la RDC et le reste du monde.
Devant un jury indépendant composé d’un professeur de journalisme et de représentants de l’Union Nationale de la Presse Congolaise (UNPC), de l’Observatoire des Médias Congolais (OMEC), de Journaliste en Danger (JED) et de l’Ambassade des Etats Unies en RDC, trois confrères et une consœur, lauréats et lauréate de ce concours, se sont distingués dans l’exercice de leur profession par les valeurs de responsabilité, de vérité et d’indépendance d’esprit propres à l’illustre homme de presse et homme d’Etat américain qui prête son nom à cette initiative.
Il s’agit d’Huguette Yeta, journaliste et lauréate de la catégorie télévision de la chaîne de télévision de Numerica, émettant depuis Kinshasa.
Le prix de la catégorie Radio a été remporté par Serge Bahati Sikuli de Radio Moto de Butembo-Beni au Nord Kivu.
Tandisque Luc Roger Mbala du journal l’Observateur s’est vue décerné le prix de la presse écrite. La dernière personne à être primé est Franck Baku dans la catégorie de bloggeur.
Chaque lauréat de la première édition du prix Benjamin Franklin a reçu une enveloppe de 1000 $, en plus du diplôme de mérite lui délivré par l’ambassade des Etats unies en RDC.
Il faut signaler que cette représentation diplomatique américaine en RDC se dit heureuse de pouvoir contribuer à la consolidation du professionnalisme et du sens éthique de la presse écrite, audiovisuelle et en ligne de la RDC.
Elle invite les journalistes de l’ensemble du pays à participer à la deuxième édition du prix, dont le lancement et les conditions de participation seront annoncées publiquement dans les semaines à venir.
Samuel Katshak
Tél. : (00243) 810821400
(00243) 998909787
E-Mail : katshak@un.org
papykatshak@gmail.com
papykatshak@yahoo.fr
Devant un jury indépendant composé d’un professeur de journalisme et de représentants de l’Union Nationale de la Presse Congolaise (UNPC), de l’Observatoire des Médias Congolais (OMEC), de Journaliste en Danger (JED) et de l’Ambassade des Etats Unies en RDC, trois confrères et une consœur, lauréats et lauréate de ce concours, se sont distingués dans l’exercice de leur profession par les valeurs de responsabilité, de vérité et d’indépendance d’esprit propres à l’illustre homme de presse et homme d’Etat américain qui prête son nom à cette initiative.
Il s’agit d’Huguette Yeta, journaliste et lauréate de la catégorie télévision de la chaîne de télévision de Numerica, émettant depuis Kinshasa.
Le prix de la catégorie Radio a été remporté par Serge Bahati Sikuli de Radio Moto de Butembo-Beni au Nord Kivu.
Tandisque Luc Roger Mbala du journal l’Observateur s’est vue décerné le prix de la presse écrite. La dernière personne à être primé est Franck Baku dans la catégorie de bloggeur.
Chaque lauréat de la première édition du prix Benjamin Franklin a reçu une enveloppe de 1000 $, en plus du diplôme de mérite lui délivré par l’ambassade des Etats unies en RDC.
Il faut signaler que cette représentation diplomatique américaine en RDC se dit heureuse de pouvoir contribuer à la consolidation du professionnalisme et du sens éthique de la presse écrite, audiovisuelle et en ligne de la RDC.
Elle invite les journalistes de l’ensemble du pays à participer à la deuxième édition du prix, dont le lancement et les conditions de participation seront annoncées publiquement dans les semaines à venir.
Samuel Katshak
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Journée de l’enseignement célébrée dans la méditation à Kinshasa
A Kinshasa et travers toute l’étendu de la RDC, la situation l’enseignement est déplorable. On déplore la non existence ou l’existence dans un état déplorable des d’infrastructures scolaires viables. Dans certains coins du pays les enfants manquent de tout. La majorité viennent à l’école pieds nus. Ceux qui ont la chance sont en babouche ou en pantoufle de fortune. Des petits garçons avec des culottes troués ou qui ne leur conviennent pas, côtoient leurs rares collègues en uniforme scolaire.
Dans d’autres écoles, les bancs n’existent que de noms, et pourtant la RDC regorge des réserves forestières remarquables et capables de générer des recettes pouvant permettre le développement de plusieurs secteurs de la vie au Congo. Ce qui ramène l’enseignement congolais au rabais. A tout cela se mêle la pauvreté et les difficultés pour les parents de payer les études et la scolarité de leurs enfants.
Du coté des enseignants, cette journée du 30 Avril consacré à l'enseignement est passée sous la méditation. Pour ces enseignants, la misère dans laquelle ils croupissent ne leur permet pas d'organiser des manifestations. Il faut ajouter à cela, le coût de vie élevé et leur pouvoir d’achat en baisse. Ce qui pousse la plupart d’entre eux à demander au gouvernement d'améliorer leurs conditions de vie.
Au cours d’un point de presse tenue vendredi 30 Avril dernier à Kinshasa sur l’état des lieux de l’enseignement en RDC, Jean KIMBUYA, secrétaire général du Syeco(Syndicats des enseignants du Congo), a plaidé pour un enseignement de qualité en Rdc. Il interpelle les décideurs politiques en vue de sauver le pays de son sous développement chronique.
Saisissant l’occasion de la journée internationale du travail, les travailleurs du secteur éducatif ont fait un diagnostic malheureux. Aucune de leurs revendications n’a jamais trouvé satisfaction de la part du chef de l’Etat et du gouvernement qui ont pourtant prôné cette année comme étant celle du social.
Samuel Katshak
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Dans d’autres écoles, les bancs n’existent que de noms, et pourtant la RDC regorge des réserves forestières remarquables et capables de générer des recettes pouvant permettre le développement de plusieurs secteurs de la vie au Congo. Ce qui ramène l’enseignement congolais au rabais. A tout cela se mêle la pauvreté et les difficultés pour les parents de payer les études et la scolarité de leurs enfants.
Du coté des enseignants, cette journée du 30 Avril consacré à l'enseignement est passée sous la méditation. Pour ces enseignants, la misère dans laquelle ils croupissent ne leur permet pas d'organiser des manifestations. Il faut ajouter à cela, le coût de vie élevé et leur pouvoir d’achat en baisse. Ce qui pousse la plupart d’entre eux à demander au gouvernement d'améliorer leurs conditions de vie.
Au cours d’un point de presse tenue vendredi 30 Avril dernier à Kinshasa sur l’état des lieux de l’enseignement en RDC, Jean KIMBUYA, secrétaire général du Syeco(Syndicats des enseignants du Congo), a plaidé pour un enseignement de qualité en Rdc. Il interpelle les décideurs politiques en vue de sauver le pays de son sous développement chronique.
Saisissant l’occasion de la journée internationale du travail, les travailleurs du secteur éducatif ont fait un diagnostic malheureux. Aucune de leurs revendications n’a jamais trouvé satisfaction de la part du chef de l’Etat et du gouvernement qui ont pourtant prôné cette année comme étant celle du social.
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